Histoire de la vie de Elane (RP)

Chapitre 26 : La fête
[Nifaène]

Tiphaelle était remplie d'une joie de vivre débordante. Ella n'arrêtait jamais de peindre des paysages en cantonnant ses airs favoris. Elle revenait un peu avant les repas chargé de paniers remplies à ras bord de fruit ou de légume qu'elle avait cueillit dans les alentours.

- Bon nous produisons plus de ressource qu'il ne nous en faut, nous avons une flotte assez conséquente et entraînées Que pouvons nous encore faire ?

- Il ne reste plus que développer nos recherches et notre système défensif.

- Que l'on me fasse mille unités de chaque type de lanceurs.

- Je commence dès a présents.

Backère quitta la pièce

- Nous devenons puissants, c'est parfait.

- Un représentant de Tyrpre demande l'autorisation d'atterrir sur Morina, votre altesse.

- Laissez le passer. Je pars l'accueillir.

Le soldat partit à sa suite.

- Ho attend une minute, il sera pas la avant un bon quart d'heure.

- Pourquoi ? Il y a un problème ?

- Pas spécialement.

- Alors j'y vais.

- Prend des gardes avec toi.

- Il vient de Tyrpre, ce sont des diplomates.

- On ne sait jamais.

- Ne tan fait pas.

Elle partit. Mais préférant être sur de sa sécurité je chargeait quelque homme de la suivre et de la protéger.

Un petit vaisseau aux formes fluides se posa. Une Trypienne descendit du vaisseau. Les Tryprien sont des humains à la peau verte, ils sont pacifistes et diplomate. Leurs seuls vaisseaux sont ceux pour faire du commerce ou pour des déplacement interplanétaire. La nouvelle venu leva ses bras vers le ciel et déclara.

- Je ne viens avec aucune intention de guerre. Seul la sécurité de mon peuple m'intéresse. Je me soumettrais à vos contrôles sans aucune résistance.

Je sortis de ma cachette et je fouiller cette femme sous le regard sévère de ma soeur.

La femme Tryprienne repartit dans la fin de l'après midi après avoir longuement parler avec Tiphaelle.

- Que désirait cette femme ?

- Toi ! La prochaine foie que tu te permet de fouiller de la sorte un ôtes sans mon autorisation je te fais jeter en prison pour deux mois.

Un frisson me parcourut mais je n'y laissais rien voir.

- Les Trypriens étaient inquiet de la flotte que nous avons construite. Ils ont craignent que nous ne nous préparerions pour un raide contre eux. J'ai donc exposé la situation et signé un pacte de non agression avec les Trypriens.

- Heureux qu'ils ne nous veulent aucun mal.

Le soir j'entrais dans la salle à manger pour le souper mais Tiphaelle n'était pas là.

- Mais ou étais tu ?

- Ben ...

- Ta encore oublier. Se soir on fait la fête. Aller change toi et vient vite.

Je m'exécutais. Il est vrai que cette fête m'était sortit de la tête. Toute la population était là. Les simples paysans vêtus modestement discutaient avec des bourgeois aux riches fortunes. Sur Morina il n'y avait jamais de fossé entre riche et pauvre.

Cette fête eu un effet soporifique sur moi et je finis par m'endormir sur une table pendant que la plus par des gens dansaient. Je rêvais que je me trouvais dans mon croiseur durant une bataille. Les ennemis tombaient les un après les autre sous mes tires. Je ne sus pas combien de temps j'avais dormit, quelques minutes, une heure, deux heures, trois heures … J’ouvris les yeux sur la personne qui venait de me réveiller. C'était une fille de mon age, elle avait les cheveux blonds, quelques grains de bonté sur les joux, des yeux bleu et un grand sourire. Mon coeur battait la chamade, mon estomac était serré ...

Chapitre 27 : Un refus orange
[Un Grunt]

On ce faisait exploser. Il n'y avait rien à faire. Aucun de nos missile ou laser ne parvenaient à passer le bouclier de leurs bombardiers ou de leurs vaisseau de bataille. Cela faisais des heures qu'il détruisait nos systèmes de défense les un après les autres sans jamais subir de pertes. Nous n'avons plus qu’une puissance de feu suffisante pour les empêcher de souiller notre planète de leurs pieds.

Une heure plus tard, l'ennemi nous avait tous fait captif. Leur chef se tenait devant nous depuis quelques minutes déjà lorsque un soldat lui dit.

- Nos chasseurs ont perdu comme nous nous y attendions, en revanche toute la planète et sous contrôle. Nous n'avons trouvé aucune autre ville.

- Bien.

Nous grunts avions était obligés de nous asseoir à même le sol tandis que ce soi disant roi lui prenait son aise dans une chaise. Je me levais plein de rage de mettre fait berné, d'avoir perdu se combats, de voir mon peuple ainsi capturé, d'avoir les main menottées. Une foie debout on m'ordonnait de me rassoire en me pointant d'une vingtaines d'armes. J’hurlais à plein poumon.

- Explique moi pourquoi tu a fait sa humain !

- Tu vas mourir pour avoir parlé ainsi à notre roi de ta langue impure !

- Stop ! Grunts, je pense que vous savez très bien pourquoi je vous et attaqué.

- Non je ne le sais pas. Tu devez attaquer Elocrum pas Crom.

- J'ai usé d'une stratégie pour pouvoir prendre le contrôle de cette planète sans gêne.

- Sans gêne ?! A l'heure qu'il est, tes 300 vaisseaux de batailles et tes 1000 croiseurs son mort avec leurs pilotes.

Nous riment tous, de notre rire noir.

- Vous, Grunts, ne possédait pas les même technologie que nous. Je viens de perdre 300 chasseurs lourds et 1000 chasseurs légers tous pilotés par des ordinateurs. Le coût de cette diversion ne représente rien pour moi.

Tous les Grunts arrêtèrent de rire.

- Nous sommes tombé dans un piège soit, tu nous a eu, mais notre flotte va revenir et elle te détruira à tous jamais.

- Votre flotte vient d’utiliser tous son carburant pour combattre ma diversion. Elocrum ne disposant pas de synthétiseur de deutérium assez évolué, votre flotte devra rester là-bas pendant plusieurs mois.

- Nous sommes donc captif à tous jamais. Donne moi des outils, je construirais se que tu me demande dans mon rôle d'esclave.

- Personne ne sera esclave. Je vous propose de vivre en paix ici dans une prison géante. Cette prison fera la moitié de votre planète.

- Je refuse d'avoir comme roi un sale humain comme toi.

- Alors il ne te reste plus que la mort.

- Tu veux nous faire peur en me tuant ? Et bien va y.

- Il n'est pas question de te tuer moi même, non si tu ne me veux pas comme roi tu peux juste mettre fin à tes jours.

- Je préfère mille foie me tuer que te servir.

- Comme tu veux.

- Faites comme moi mes frère ! Tuons nous plutôt que de lui obéir !

Tous se levèrent. Je brisé les menottes d'un geste tous comme tous me semblables. Nous prirent nos couteaux et nous nous tranchèrent la gorge. Je voyais mes frère tomber devant moi les un après les autres. Nous ne voulions pas de lui comme souverains.

Non pas sa ! Raté, j'ai raté mon geste. La lame na pas couper ma trachée. Je vais agoniser d'une hémorragie pendant des heures. (Les Grunts on beaucoup plus de litre de sang) Le roi des humains vint au dessus de mon corps. Il pointait son arme sur moi.

- Je vais abréger tes souffrances.

Je lui lançais un vague non qui ressemblait d'avantage à un souffle qu’à une parole.

- C'est vrai, pour un grunt se suicider par une arme, c'est perdre l'honneur.

Il rangeât son arme et ramassa un des couteaux qui jonchait le sol.

- Que tous me soient témoin. Jamais je ne vous ais forcé à vous tuer. Mais puisque vous avez choisi se choix je me dois de vous assurer une mort sans souffrance.

Sa main trancha ma gorge d'un geste net. Je venais de mourir tous en gardant mon honneur. Un homme bon et juste venait de nous battrent.

Chapitre 28 : En pleine guerre civile
[Elane]

- C'est idiots qu'ils ont choisi le suicidés.

- Sa nous a évité de les tuer.

- Soldat, je vous avais ordonné de ne tuer que ceux qui nous opposé une résistance. Il était hors de question de tuer se peuple.

- Bah sa fais de la vermine en moins.

- Bravo soldat, vous venez de gagner une semaine de gnouf. (Prison pour les soldat qui son sanctionné)

- Mais pourquoi ?

- Jamais je n'exterminerais un peuple par plaisir, même si c'était les pires crapules de l'espace. Je n'aime pas votre façon de penser que les Grunts viennent d'une race inférieure.

- Mais ...

- Ho et puis la ferme. Vous me ferez deux semaines.

- C'est rare que tu sanctionne quelqu'un toi.

Murtag venait d'entrer dans la pièce.

- Aller vient, les corps commencent à se décomposer. Je vais les brûler et on ira dehors.

- Non les brûles pas, selon leurs traditions les morts ne doivent pas être bougés. On doit les laisser là. Sortons.

- Comme tu veux.

Mutag et moi nous somme aller jusqu'à notre camp improvisé. Le camp était dans l'ombre d'un bombardier pour nous protéger des vents très violent et du soleil. Là autour d'une table mes officier attendait mes prochains ordres. Je pris quelques minutes pour visualiser la situation et mes options.

- Bon, je vais résumer la situation. J'ai à présent quatre planètes sous contrôle. Coruscante, la ou la population vie, ou les flottes sont construite, ou les recherches sont effectuées. Deux autres planètes me servent pour produirent des ressources et cette planète, Crom. On va laisser ici nos droïdes pour qu'ils transforment cette planète en une troisième planète de production. Donc j'ai une planète ou tous est fais et trois qui ne font que produirent des ressources. On va donc renter, se restauré, voir nos famille, pendant se temps la ont lancera quelques assauts de chasseurs pilotés par PC sur la flottes Grunts. Leur flotte sera donc relativement faible et leurs réserves de carburant les empêcheront de combattre avec efficacité. Après ces à vous de voir. Sois on les raide avec toute la flotte et il est possible que l'on subissent des pertes. Ou ont leurs envoie des chasseurs piloté par PC jusqu'a se que leurs réserve de carburant sois à zéro et qu’ont les abattent.

- Ont les raides.

- Non, ont leur envoie des chasseurs.

- Non, ...

- Hum hum. Ce n'est pas seulement à vous de prendre ce choix mais à tous les soldats concernés. On fera un vote en rentrant. Aller on s’en vas de cette planète.

Toute la flotte décollât. Ne laissant sur Crom qu'un millier de droïdes chargés d'augmenter la production. Nous filions vers chez nous.

- Elane, Helcove te demande à l'émetteur.

Je m'installais devant l'émetteur surpris que Helcove puisse vouloir me parler.

- Elane, j'espère que tu es toujours avec nous. Ont a un problème, Arnaud, le frère de c-180, a crée une alliance, la CSI. Mais peu importe cette alliance. Arnaud est entrain de faire fabriquer une flotte et tu es le plus proche pour éliminer cette flotte avant qu'elle ne se retourne contre nous.

- Je croyais que notre séparation de la GADC n'avait entraîné aucun conflit.

- Il n'y a pas eu de guerre comme nous nous y attendions, mais nos relations avec la CSI sont très tendues. Nous craignons que Arnaud n'utilise cette flotte contre nous.

- Arnaud crierait à la guerre, et nous sommes déjà tous occupé pour pouvoir déclarer la guerre à une alliance.

- Que veux tu qu'ils nous fasse ? Ils nous attaquerons avec vingt croiseurs au mieux.

- Alors pourquoi attaquer Arnaud ?

- Bon écoute, le haut commandement te donne l'ordre de raider Arnaud. On ne te laisse pas le choix.

- Il a une bonne défense. Je vais y laisser des hommes.

- Prends des vaisseaux dirigés par PC.

- Ils sont moins puissants.

- Tu fais comme tu veux. Mais tu me raide Arnaud avant la semaine prochaine.

Je pris alors quelques minutes pour lui expliquer la position de ma flotte et ma volonté de battre les Grunts avant qu’ils ne disposent assez de carburant pour m'attaquer.

- Je suis désoler de devoir te demander sa. Tu es le plus près et ta flotte a assez de puissance pour gagner.

- Je vais subir des pertes.

- On te remboursera.

- Il ne s’agit pas de vaisseaux mais d'hêtre humains. Tu ne pourras pas les remplacer eux.

- Tu as une semaine pour rassembler ta flotte, détruire les Grunts et raider Arnaud. On te remboursera tes dégâts et on te donnera l'argent pour les familles des victimes.

- Dis voir.

- Quoi ?

- Tu pourrais renouveler mon stocke de croissants ? J'an ai presque plus.

- Hein ? Quoi ? Heu ... ouai d’accord. Je m’en occupe. Et toi qui parlais des hommes qui allaient mourir il n’y a même pas deux minutes.

- C'est juste que se n'est pas la penne que je t’en parle plus, puisque quoi que je te dise il faut que je raide Arnaud. Alors quand peux tu me livrer ?

- Voyons demain ils sont faits... Tu les auras dans deux jours.

- Parfait.

- Tu n’oublies pas de raider Arnaud.

- T’en fait pas pour sa.

Je coupais la communication.

Un message venait d'apparaître. Un vaisseau venait d'entrer dans l'orbite de Morina. Je crus d'abord à un vaisseau Tryprien reconnaissable à leurs formes allongé et à leurs couleurs bleuté. Mais un détail me chiffonnait, la présence d'un dessins sur le bas de l'aillerons. Se dessins représentait un Tryfons brandissant un fusils. Bien que se vaisseau semblait être Tryprien, il était en réalité un vaisseau Tryfons.

Pour moi il y avait trois classes de peuple. Les diplomates, ne combattant que pour leurs défenses, les imprévisibles, parfois ils attaquaient parfois jouaient la diplomatie et les guerriers, attaquant tous ceux qu'ils pouvaient.

Les Tryfons font partie de la classe des guerriers. Ils sont loin d'être les plus dangereux mais disposent déjà d'une belle puissance de feu. Ils envoient toujours un vaisseau en se faisant passer pour un Tryprien pour espionner sans difficulté leurs cibles. Ensuite ils passent à l'attaque. Tiphaelle ne semblait pas avoir remarqué qu'il ne s’agissait pas d'une Tryprienne.

- Elane, va dormir. Sa fait des Heure que tu n’as pas fermé l'oeil.

- Laisse moi s'il te plaie. J'ai besoin de silence.

- Comme tu veux, mais pense à dormir.

Je devais rassembler ma flotte, exterminer les vaisseaux Grunts, raider Arnaud et aider Tiphaelle. Je devais faire un choix et vite.

Chapitre 29 : Sentiments
[Nifaène]

Je rentrer tard dans la soirée au palais. Je m'était glissé sans faire de bruits jusqu'a ma chambre. Je venais de fermer la porte de ma chambre plongée dans l'obscurité quand cette voix si familière me touchât les oreilles.

- Ou étais tu ?

- Dehors.

- Dehors ? À vingt neuf heure ?

- J'ai eu une insomnie.

- Oui une insomnie, comme hier, avant hier, avant avant hier et comme avant...

- OK c'est bon. Je sors avec quelqu'un, sa te va ? Maintenant tu sors de ma chambre et tu me laisses dormir.

Elle me répondit dons ton étonné et enthousiaste.

- Tu vois quelqu'un ? Qui ? Depuis quand ?

- Un fille que j'ai rencontrée durant la fête, il y a trois semaines.

- Pourquoi tu ne me l’as pas dit ?

Je me contentais d'hausser les épaules, biens qu'elle ne put rien voir.

- C'est vrai que c'est de ton age maintenant, mais j'ai du mal à oublier que tu as grandis depuis.

- Pourtant j'ai grandis.

- Oui. Je t'envie tu sais.

- Pourquoi ?

- Tu n’es pas roi, tu peux voir qui tu veux, où tu veux, quand tu veux.

- Tu aurais voulus que Elane reste ici pas vrai ?

- Comment ...? Bah je suppose que sa saute aux yeux. Oui j'aurais voulus qu'il reste ici. Mais je ne peux le retenir il a son peuple.

- Envoie lui un message.

- Pourquoi ?

- Il te manque sa se voie. Envoie lui un message ou tu lui demande si il serais possible de faire du commerce entre nos deux planète.

- Pourquoi faire du commerce ? Pourquoi ne pas lui dire que je veux le voir ?

- Elane ne voudra pas que tu fasses un voyage long et risqué. Nan tu lui diras que c’est pour faire du commerce. Puis une foie qu'il a accepté tu y va et tu lui dit tes sentiments.

- Tu es plus jeune que moi pourtant c'est toi qui me donne des conseilles.

Nous continuâmes à discuter de tous et de rien jusqu’au matin.

Chapitre 30 : Répartition de force
[Murtag]

J'entrais doucement dans la pièce. Elane c'était effondré de fatigue sur la table. Son sommeil était très agité. Il n’arrêtait pas de bouger dans de petits gestes brusques. Je lis ses notes qu'il avait écrie sur son PC avant de tomber dans le sommeil.

[color=silver]

Citation :: J’ai mené divers espionnages et en voilà donc la synthèse que j’ai conclus

[color=white]- Grunts = 5000 ch + 500 V.B.
- Arnaud = 100 cr + 30 plasma.
- Les Tryfons = 50 dest.
- Moi = 1500 ch.lé + 1000 ch.lo + 100 V.B + 30 BB + 30 dest.

Répartition :

- 100 ch.lé piloté par PC partirons vers Elocrums avec la signature de réacteur de vaisseaux de batailles. Cela baissera encore leurs réserves de carburant et les bloquerons sur la planète.
- Toute la flotte à l'exception des 100ch.lé partirons pour attaquer Arnaud.
- Je ne peux pas aider Morina cette foie. J'ai peur qu'il n'y est des morts, mais dans de quel côté ?

Une heure à penne après avoir su que Morina allait subir une attaque, Elane avait préparé un plan. Il avait même déjà espionné toutes ses cibles avec succès.

- Tu es gentil, et tu ne fouilles pas dans mon PC sans mon autorisation.

- Désolé de t'avoir réveiller.

- Pas grave ce n'était qu'un cauchemar de cinq minutes. Un cauchemar de plus.

- On est dans le pétrin pas vrai ?

- C'est surtout moi qui suis dans le pétrin.

Chapitre 31 : Trois bataille
Partie une : Pris de court
[Nifaène]

Je sautais au dessus du muré, courais, gravissais les marches quatre à quatre, entrais dans la salle. Je pris le micro en toute hâte.

"Une flotte ennemi arrive dans dix minutes, que les civils partent immédiatement pour les bunkers de sécurité et que les pilotes monte dans leurs vaisseaux au plus vite. Ne tombez pas dans la panique."

Je montais dans mon croiseur, mais je ne pouvais partir tan que mon artilleur n'était pas là. Les pilotes arrivaient les un après les autres en courant, certain était encore en pyjama, d'autres avait eu le temps de prendre une chemise.

- Partez sans m'attendre ! Cordonnées 3.4.8 !

- On y va sans stratégies ?

- Pas le temps ! Allez y, attendez moi là-bas !

Sept minutes, six, cinq, quatre, trois. Je partis seul, je ferais pilote et artilleur en même temps.

"Contacte dans deux minutes."

"Que les vaisseaux de bataille se place devant les croiseurs. On fait feu a porté."

"L'ennemi nous a espionner il y a une semaine en se faisant passé pour des Trypriens. Ils nous ont envoyer un message il y a onze minutes nous disant leurs attaque."

"Contacte !"

"C'est quoi sa ?!"

"Des destructeurs et ils sont au nombre de cinquante."

"Feu à volonté ! Que les croiseur se déplace par groupe de cinq !"

Tous nos croiseurs se sont approchés de ces vaisseaux.

"On a déjà perdu un croiseur !"

"Mais on les a même pas atteint !"

"Que les croiseurs rentre dans les vaisseaux de bataille, vous serviraient d'artilleurs."

Nous tirions avec acharnement mais les boucliers de l'ennemi semblaient indestructibles.

"Ici le vaisseau de bataille 3.c je suis sérieusement endommager, je rentre."

"Ici le vaisseau de bataille 2.u je rentre aussi"

En tous cinq de nos vaisseaux de bataille partirent tandis que aucun des destructeur ennemis nue d'égratignures.

"La défense est enfin opérationnelle, c'est pas trop tôt. Vous approchez pas des ennemis sa va saigner."

Un nombre surprenant de missile et de laser toucha les destructeurs.

"Ils se sont fait détruire en une seule salve !"

Tous les destructeurs étaient tombés.

"Victoire et sans perte en plus."

"Attend, on a perdu un croiseur et les destructeur sont trop gros pour se désintégrer dans l'atmosphère."

"Aller on rentre."

C'était la première bataille que nous gagnions sans aucune aide, la fierté se lisait sur le visage des pilotes. Je reposais à penne le pied au sol que Backère me dit à voie basse.

- Il y a des chose pas normale ici. Il faut qu'on en parle à la renne.

Tiphelle sortie de son bunker personnelle, elle avait de légers cernes sous ses yeux.

- Faites moi votre rapport.

- Le vaisseau Tryprien était en faite un espion. Ils nous ont attaqué avec pas moins de cinquante destructeurs. Mais notre solide défense les a détruit d'une traite.

- Ont a subit des pertes ?

- Deux hommes sont morts dans un croiseur.

- Contente que se ne sois pas plus.

- Mais il y a une chose qui n’est pas claire.

- Laquelle ?

- Notre défense n'était pas assez développé pour détruite une flotte pareil. Et il n'y a aucun débris qui c'est écrasé sur la planète.

- Ils se sont désintégrés en entrant dans l'atmosphère.

- C'est impossible, les bombardiers et les destructeurs on une taille et un blindage trop grand pour se désintégrer entièrement.

- Tous se que l'on peux faire c'est faire un scanne de Morina.

Le scanneur ne mis pas longtemps à nous expliquer la solution de cette impossibilité.

- Une sonde étrangère se trouve sur Morina. Sa fonction première est de construire des systèmes de défense de façon automatisée. Notre système de défense était composé de 1000 lanceurs de missiles et de 1000 artilleries lasers légères mais cette sonde a construis pas moins de 2000 artilleries lasers lourdes et un petit bouclier. C'est comme ça que la flotte a était détruit d'un coup et que les débris ne se sont pas écrasés sur Morina. Cette sonde se procure les ressources à la source c'est pour sa que cela ne changeait rien dans nos livres de contes.

- Un cadeau de Elane je présume.

- Même à six galaxies d'ici il continue de vous protéger.

Partie deux : La bataille fantôme
[Le chef Grunt]

- Chef 100 vaisseau de combat approche.

- C'est un leurs, tous comme la dernière foie.

- Comment peuvent ils faire cela ?

- Retourne à ton poste et ferme la.

Cet humain veut nous bloquer ici. Il ne veut pas que nous l'attaquions sur son terrain. Cette flotte qui arrive et notre réserve de deutérium qui ne représente plus que la moitié que se que nous avions emmener. Et production n’améliore pas notre positions, nos mines sont toutes aux niveaux trois se qui ne suffira jamais pour déplacer mes 1500 chasseur léger, 5000 chasseur lourd et 500 vaisseau de combat.

"Bon les gars ces un leur, ses 100 vaisseau de bataille sa peu être des sonde ou des chasseur lourd. Vous avez pour ordre de les éliminer le plus vite possible."

La flotte ennemi arriva, comme prévue il s’agissait d'un leur. Les 100 chasseurs légers furent détruits sans pertes. Nous venions encore de perdre beaucoup de carburant.

Partie trois : Bombardement intensif
[Elane]

Obligeait de traverser une galaxie pour détruite la flotte d'un ami, ne me plaisais pas du tous. Bien que nos idées divergent il n'an reste pas moi un ami même si il un sens de l'entre aide très peu développé.

J'aurai volontairement refusé de participer aux combats qui auraient pus opposé la GADC des séparatistes. Que se sois dans un vaisseau ou en donnant les ordres, j’aurai préférais regarder la scène dans le silence.

- Nous sommes arriver et prêts au combats mon seigneur.

- Lancez l'assaut.

- A vos ordres.

Mes bombardiers ouvrirent le feu détruisant ainsi une partie de la défense ennemi. La flotte ennemie décollât et entra en combats avec mes chasseurs léger et lourd. Nos deux flottes de chasseurs se détruisirent d'elle même. Les défenses ennemies tirèrent sans faire de dégâts. Les bombardiers les achevèrent. Bientôt les vaisseaux de combats et les destructeurs entrèrent dans le conflit.

La bataille durant pendant plusieurs heures. Des rayons de toutes les couleurs partaient en tous sens. Lorsqu'elle fut finie le résultat fut sans surprise.

- Aller on rentrent.

- On ne les achève pas ?

- L'objectif et atteint, on a détruit la flotte et la défense de Arnaud.

Plus tard ...

- Voilà Helcove, la flotte de Arnaud ainsi que sa défense on était réduit en cendre.

- Parfait, dans se cas Pyro peux s'y rendre. Il doit parler diplomatie avec Arnaud.

- Et il fallait le raider pour parler diplomatie ?!

- Tu sais les ordres de Pyro sont parfois bizarre.

- Ouai c'est vrai. Maintenant je retourne sur la flotte Grunt.

- Ok, à la prochaine.

Chapitre 32 : Un gros héritage
[Le chef Grunt]

- Chef une flotte ennemis portant la marque de 120 vaisseau de bataille et de 35 destructeur est en approche. Il s'agit sans nul doute d'un leur supplémentaire.

- Peu être mais je ne pense pas.

La flotte annoncée arrivât.

"Je vous salut, chef des Grunts."

"Bien que nous ne pouvons bouger, notre flotte et toujours plus puissante que la votre."

"Allons allons, restons calme. Vos 5000 chasseurs seront détruits en quelque seconde par mes vaisseaux de combats et mes destructeurs tirent plus loin que vos vaisseaux de batailles. Vous avez perdu. Rendez vous sans résistance et personne ne sera tué"

Nos flotte se firent face sans tirer pendant plusieurs minutes. Elane m'avais eu, obligé de défendre une planètes contre des leurs sans avoir assez de deutérium pour lancer l'assaut. Jamais quelqu'un n'avais pus détruire notre civilisation pendant près de 130 siècle, et c'est humain allai le faire.

- Faite donner l'ordre de se suicider, cette bataille et perdu et notre peuple aussi. Le temps de la domination de l'espace par les Grunts et révolu.

Je sortis mon couteau.

"Humain, je vais te faire le plus beau cadeau qu'un Grunts et offert à un ennemi."

Je me planter le couteau en pleine gorge. Jus l'impression que ma plaie fut gelée par le froid. Un air chaud envahi mes entrailles et ma vus se troublât.

L'humain avait gagné, les Grunts sont désormais tous vaincu et nos vaisseaux lui serviront mieux qu’ils nous ont servit.

Chapitre 33 : Une lettre
[Murtag]

Je sortis de ma chambre, je prit un rapide déjeuner et partis voir le commandant.

- Alors on en est ou ?

- Il nous reste deux cents systèmes solaires devant nous. Elane ma donner cela pour vous.

Il me tendit une enveloppe.

- Mais pourquoi ne me l'a t-il pas donné lui même ?

- Le seigneur était fatiguer et pressé de retrouver la douceur du foyer. Il est parti seul en direction de Coruscant.

- Et vous l'avez laisser partir comme sa ?! Seul ?!

- Le seigneur Elane m'a ordonné de ne pas le faire suivre.

- Contactez le.

- Son altesses ma demandé de ne pas le déranger.

Il prend des risques, je n'aime pas ça. Je prit une chaise et m'assis.

Murtag

Voilà, nous venons de gagner trois batailles. Mais comme tu le sais la guerre contre S3RG151 continue. C'est d'ailleurs de cela que je veux te parler. Je ne souhaite plus me venger. Non parsque cela me paraît trop dur mais car cela me semble inutile. Je sais que cela te fera de la penne d'apprendre cela, mais même avec notre nouvelle flotte, nous n'aurons jamais une flotte qui puisse rivalisé avec notre ennemi.

J'ai quitté le vaisseau et je ne serrai pas sur Coruscant non plus. Je par pour Morina pour quelque temps. J'ignore encore quand je reviendrais. Je te demanderais de ne pas me suivre. Je veux que tu commande Coruscante pendant mon absence. Tu l’as déjà fait et je suis sûr que le peuple t'accordera toute sa confiance malgré ton sombre passé.

Je t'ai joint (au dos) quelques objectifs que aura largement le temps de réaliser. Une foie que tu a atteins ces objectif tu a quartier libre fais se qui te semble bon pour le développement.

Avec toute mon amitié

Elane

Au dos il était écrit :

Voilà tes objectif :

- Coloniser avec des droïde Elocrum.
- Augmenter la production au niveau 25:25:20:25 sur toutes nos planètes.
- Monter la défense de Crom et Elocrum de 500 lanceur de chaque type.
- Equiper nos colonies d'assez de grand transporteur pour que chaque jours elle livre leurs ressource sur Coruscant.
- Monter la défense de Coruscant de 1000 à 1500 lanceur de chaque types.
-Et surtouts t'amuser

Bonne chance

- Si Elane serai devant moi je le tuerai. Ces objectifs vont mettre trois mois à être réalisé pour le mieux.

- Que dois je comprendre ?

- Vous n'avez rien à comprendre. Je vais devoir tous expliquer à la population à notre retour. Es encore long ?

- Il nous faudra encore deux jours de vol.

- C'est long.

- Pour pouvoir emmener la flotte Grunts avec nous, nous avons du baisser notre allure à sa plus petite vitesse.

- dois réfléchir.

Chapitre 34 : L'écoute de sois
[Elane]

"Un vaisseau viens de pénétrer dans notre atmosphère."

"Comment a t-il put aller si loin sans se faire repérer ?"

"Ici le sergent, je suis sur place, c'est bon laissez le se poser c'est un allier."

Je posais mon vaisseau dans une petite clairière. Je pris un peu d'eau dans la rivière qui passait non loin et commençait mon travail. Le soir venu je me suis effondré dans mon lit.

J'ouvris les yeux et je vus Tiphaelle accroupit à côté de mon lit (qui est dans le vaisseau) un grand sourire aux lèvres. Je souffler un vague bonjour, qu'elle me rendit. Je continuais de parler d'une voie rauque.

- Vous avez améliorés votre niveau de surveillance mais il fut insuffisant pour me voir a temps.

- On vous a vus quand vous êtes venus, et Nifaène aurait pus vous tuer si il n'avait reconnus votre vaisseau.

Je m'étais levé et je me dirigeais au dehors, vers une table sur laquelle était disposé mon petit déjeuner.

- Et je l'aurais sus grâce à la radio.

- Tous vos vaisseaux en son équipé ?

- Non on n’arrive pas à fabriquer l'un des composants. C'est pour cela que je garde ce vaisseau. Je les amélioré bien sur.

- Nous l'avons déjà amélioré.

- Votre niveau technologique est largement inférieur au notre. J'ai doublé la vitesse, je l'ai équipé de deux canons de chasseur lourd, d'un bouclier et j'ai refait toute la base informatique.

- Impressionnant.

- Ce n'est que le résultat de mon temps libre. Je crois savoir que il c'est passé plein de chose depuis notre dernière rencontre.

- A propos de notre dernière rencontre ... je ... je voudrais vous dire que ... que ...

- Ma sonde vous a aidé a se que je voie, j'en suis ravie. J'ai ramené un petit stocke de croissants, vous en voulez un ?

- Avec grand plaisir.

Notre petit déjeuner se poursuivais sans un mot, lorsque Nifaène arriva en courant. Il dit essouffler.

- Salut ... Elane ... Mais pourquoi ... tu t’es posé ... si loin ?

- Pour avoir la paix, et ne pas recevoir de visite.

- Ho Je suis désolé, je n'y avais pas pensé, nous allons partir de se pas.

- J'ai dit pas de visite, je n'ai pas dit que je ne veux pas recevoir mes amis.

Thipaelle chuchota d'une voie déçue.

- ... amis ...

- Alors Nifaène, tu en as fait des choses en un an toi. Tu es devenus sergent et tu as déjà un peu l'expérience au combat. Mais je tant pris assied toi.

- Je n'ai pas d'expérience, ta sonde c'est chargé de tous détruire avant nous.

- J'aurais voulu vous envoyer une flotte pour vous aider mais je ne pouvais.

- Ta sonde nous aura suffit.

- Vous n'êtes tous de même pas venus pour savoir si votre sonde a marché ?

- Si il serait venu pour quelque chose d'important il se serait posé dans nos hangars.

- Je suis venu réfléchir et prendre du bon temps.

- Tu plaisantes ? Toi qui n’as pas prit de vacance depuis les huit ans que tu diriges notre peuple tu te décides enfin à prendre des vacances ?

- On peux dire sa comme sa.

- J'ai vus que tu as emmené ton vieux vaisseau, pourquoi ? Tu ne la pas démonté ?

- Je l'aurais démonté si un ami ne m'avait pas fournie quelques ressources. J'ai décidé d'épargner se vaisseau. Il fait partie de notre histoire à près tous.

- Venez donc manger avec nous se soir, votre repas y sera meilleur.

Ils partirent. Le soir je me rendis au palais. Tiphaelle m'attendais seul sur le balcon de la salle à manger. Je m'appuyer contre le mur regardant au loin le soleil qui quittait l'horizon. Elle me dit sens détourner son visage.

- Je suis désolé mais Nifaène n'a pas voulu venir. Il a dit que c'était mieux.

- Et c'est mieux.

Elle se retournât.

- Vous avez revêtu les vêtements que je vous ai offerts ?

- C'est une occasion très spéciale.

- Pourquoi dons ? N'êtes vous pas venus réfléchir ?

- Je suis venus réfléchir sur se que me dit mon coeur.

[...]

Une impression étrange s'emparé de moi. Mes muscles ne voulaient plus bouger, mon esprit refusait de réfléchir, mes yeux se fermaient. Je rouvrit mes yeux quelques foie mais à chaque foie la tentation de les fermer revenait. Je plongeais dans le sommeil pour la première foie depuis bien des années.

Chapitre 35 : Une vielle promesse
[Elane]

Les premiers rayons du soleil me réveiller. Je restais là quelque temps serrant contre moi les paroles de mon coeur. Mais mon ventre me rappela très vite ma faim. Je me levé et sans réveiller Tiphaelle je partis vers les cuisines.

- Mon seigneur ? Mais que faites vous dons là ?

- Cela se vois non ? Je me prépare mon petit déjeuner.

- Mais ne prenez pas cette penne votre altesse. C'est mon travail que de vous préparer vos repas.

- Hé bien je vous offre le petit déjeuné, revenez pour le repas de treize heure.

- Mais se n'est pas à vous de me ...

- Je m'occupe du petit déjeuner de la renne.

- Ho ... je vois ...

Il me fallut combattre une minute la porte de la chambre qui refusait de s'ouvrir. Je réussi finalement à l'ouvrir avec mon coude. Tiphaelle se réveillait doucement.

- Le petit déjeuné est arrivé.

Lui dis je doucement. Elle garda les yeux quelques secondes fermé, puis elle s'assis, et entamât de se faire une tartine. Je pris à mon tour un bout de schross (pain) et étaler sur sa surface une épaisse d'ose de chocolat. Elle avalât sa dernière boucher avant de me dire.

- Merci pour ce petit déjeuné.

- A votre service.

- Que va tu faire aujourd'hui ?

Le soulagement et le bonheur m'envahir à un point que je crus exploser.

- Enfin vous l'avez dit !

- Dit quoi ?

- Vous m’avez tutoyé.

- Je ne t’ai pas tutoyé.

- Vous venez de le refaire.

- Ho non, pas sa. Tu as malheureusement raisons.

- C’est bête, après m’avoir vouvoyé pendant dix huit années. Tu sais se que cela signifie ?

- Non, ai pitié d’une pauvre femme.

- Jamais, j’ai attendue trop longtemps, on le fait dans une heure.

- Pitié.

- Finalement nous ferons ça dans une demis heures.

- Tu ne me laisseras donc aucune chance ?

- Non aucune, et puis se n’est pas si dure.

- La seul foie ou j’ai osé le faire j’ai était malade pendant une semaine.

- Tu ne me feras pas changer d'avis.

Je me préparais pour cet instant lorsqu'elle arrivât, resplendissante.

- Prête ?

- Non, mais puisqu'il le faut, allons y.

Chapitre 36 : La première foie
[Tiphaelle]

Vu de l'extérieur il était d'une taille modeste, d'un noir profond, et son armement était imposant. Je m'assis devant Elane, ne craignant lui bloquer la vus je me fis la plus petite possible. Le moteur vrombissait et se fut tous en douceur qu'il décollât.

Le chasseur prit vite de l'altitude, traversant les nuages, perçant le ciel. Le bleu laissa bientôt place au noir de l'espace.

Elane prit soin de voler lentement sans faire diverses acrobaties. Je pus ainsi admiré la beauté du paysage. Lorsque j'avais eu six ans mon père m'avait emmené avec lui dans son croiseur. Mais ces acrobaties et ses mouvements brusques et rapides m'avaient vite donné la nosé. Depuis ce jour j'avais juré que je ne retournerais plus jamais dans l'espace. Elane lui avait toujours était mon contraire, adorant l'espace. Il m'avait dit : "Un jour je t'emmènerais dans l'espace et tu verra que ce n'est pas si horrible." J'avais répondue à cela. "Plus jamais je n'y retournerais." De là était notre pari. Pari que je venais de perdre.

Aujourd'hui l'espace me semblait plus calme. Une multitude de points de couleurs nous entouraient, il n'y avait pas un seul mouvant autour de nous. C'était le calme.

- Tu vois, l'espace n'est pas si terrible.

- Non, c’est même apaisant.

- Je savais que tu aimerais.

- Pourquoi avoir insisté pour voler avec ton chasseur ?

- Je l'ai transporté depuis mon départ. Pendant mon voyage je ne suis eu d'autre distraction que de lui procurer des réglages. Je voulais les essayer.

- Et ces réglages son t-il bons ?

- Pour le savoir il me faudrait le pousser à fond.

- Fais le don.

- Tu es sur ?

- Oui.

Le vaisseau accéléra avec une incroyable rapidité. Je fus bloqué contre Elane. Mon corps était trop lourd, je ne pouvais le bouger. Mais Elane continuais de le piloter sans ressentir de difficulté. Virage après virages, toujours plus serré, toujours plus rapide.

Lorsque je reposais le pied au sol je perdis l'équilibre mais Elane me rattrapas d'une main. Mes yeux continuaient de tourner, refaisant le voyage que je venais d'effectuer. Elane ne me relâchât que après plusieurs minutes, lorsqu'il fut sur que j'avais retrouvé mes esprit.

Chapitre 37 : Le début [1/2]
[Le chapitre est en deux bouts parceque on ma dit qu'il était trop long]
[Murtag]

"Voilà un an, un an que Elane était partie pour Morina. Je ne sais même pas si il est arrivé là-bas en vie. Toute mes tentative pour le contacter se sont trouvé être des échecs.

Les objectifs que ma demandé Elane ont étaient atteints depuis bien un temps, Je n'ai depuis pas changé quoi que se sois. Mon coeur m'interdit de changeais quoi que se sois dans cette empire sans son accord. Les ressources s'entassent, les maigres impôts ne représentent plus que miettes. La population vit, heureuse, inquiète de l'absence de son roi, sans peur du lendemain, tendu, elle ma accepté comme gouverneur."

- Seigneur Murtag, un vaisseau est en approche, il c'est identifié comme notre roi Elane.

- Le revoilà dons ?

Le vaisseau se posât sur la piste avec légèreté. La nuit était fraîche, une brise de vent me fit hérisser les cheveux sur la tête. La porte s'ouvrit, une silhouette s'avançait. Un soldat allumât les lumières.

- Salut, sa va ?

- Un an que tu est partis et c'est tous se que tu trouve à me dire ?

- Tu aurais préféré que je te fasse une cérémonie ?

- Pourquoi est tu partie si longtemps ?

- Allons ailleurs pour parler.

Elane fermât la vaisseau, et ordonna à se que personne n'y touche. Puis nous sommes allés dans une des salles en surface. Elane nous fit du chocolat chaud pendant que je cherchais des croissants. Installés dans de confortables fauteuils nous étions prêt à faire nos rapport.

- Qui commence ?

- Comme d'habitude, celui qui à le moins à dire. C'est à dire toi.

- Bien. J'ai réalisé tes objectifs.

- Quoi ? C'est tout ? Tu n’as rien fait de plus ? Je suppose que tu as donc stocké d'importante quantité de ressource et diminué les impôts à une somme symbolique.

- Oui.

- C'est trop court à mon goût. Alors raconte moi tes aventures.

J'esquisser un sourire.

- Ben c'est que je me suis fais avoir, et j'ai maintenant une fiancer.

- Toi ? Le plus grand coureur de jupons que la vie ma permis de voir tu est fiancé ? Comment cela est il possible ? Tu étais ivre ?

Je ris avant de reprendre.

- Je ne crois pas. Mais c'est différent avec elle.

- Je vois.

- A ton tour maintenant. Commençons par le début pourquoi est tu partie ?

- J'avais envie de prendre du bon temps.

- Prendre du bon temps hein, sur Morina, comme c'est bizarre. Tu sais, j'ai tous de suite remarqué une chose quand je t'ai vus. Il manque quelque chose sur ton visage, mais quoi je ne saurais le dire.

On frappa à la porte. Un soldat entrât.

- Une femme désir vous voir.

- Une femme ?

- Laissez la entrer.

- A vos ordres, mais faites attention elle a pas l'air de bonne humeur.

Elane sourit. Une femme d'une grande beauté entrât.

- Renne Tiphaelle ! Que me vaux cet honneur ?

Je m'étais levé pour l’accueillir.

- Bonsoir Murtag, cela faisais si longtemps que je ne vous avez vus. Allez vous bien ?

- Je me porte à ravir.

- J'en suis heureuse.

Elle pivota vers Elane.

- La prochaine foie que tu me laisse seul dans un vaisseau je m'en vais en te laissant ou tu es.

Elane rit et je dus moi même retenir un pouffement.

- Je ne voulais pas te réveiller.

- Sa y est je sais ce qu'il manque sur ton visage. Tes cernes. Les cernes que tu avais accumulés pendant toutes ces années. Comment les a tu perdus ?

Je réalisé la stupidité de ma question. Comment avais je pus ne pas le voir ?

- Tu vois, je te l'avais dit. Une femme. Ce qui explique pourquoi tu es parti. Mais pourquoi si longtemps ? Tu as mis tan de temps à aller la voir ?

Je me rassis sans vraiment comprendre pourquoi. Tiphaelle c'était assis dans un des fauteuils qui restaient.

- Nous nous sommes vus une heure après mon atterrissage.

- Et ...

- Le reste, tu peux le supposé.

- Il était temps que tu le fasses.

Elane avala un grand bout de croissant et je nu comme réponse qu'un vague "chgroing".

- Tu as fait des combats ?

- A par avoir entraîner Nifaène et les autre cadets, non.

- Ils sont forts ?

- Quand je suis venu j'ai mis trois minutes à tous les abattre. Seul Nifaène me résistait, mais après quelques minutes il cédait à la pression et faisait des fautes. Quand je suis parti je m'étais une heure pour tous les avoir plus encore une demie heure pour Nifaène.

- Tu les as aussi entraîné aux tires ?

- J'ai était leur professeur durant toute l'année.

- Ca devais…

- Chuuuute, elle c'est endormit.

Elane allât chercher une couverture et il l'emmitouflât en prenant soin de ne pas la réveiller.

- Où vous en êtes dans votre histoire ?

- On va se marier dans deux mois sur Morina.

- Ton peuple ne va pas apprécier.

- Notre peuple sera invité sur Morina.

Chapitre 37 : Le début [2/2]
[Murtag]

Le peuple ne parlât bientôt plus que du retour de Elane et de son mariage. Les jeunes femmes étaient dessus de n'avoir eu cette chance et les jeunes hommes s'empressaient de les consoler.

Mais le jour du départ.

- Votre altesse Elane. M'accorderez vous une faveur ? Je désir rester sur Morina, je me suis lié d'amour avec cette planète. L'air y est chaux, la flore éblouissante, les gens son attachant.

- Aucun droit ne peux m'empêcher de voir refuser cette faveur.

Puis une autre femme demanda elle aussi à rester sur Morina puis un autre homme puis une autre femme. Bientôt toute la population faisait ses valises. Le temps de faire les bagages et de construire suffisamment de transporteurs et nous somme enfin partis pour Morina.

- Que deviendront nos anciennes planètes ?

- Elle nous ravitaillerons chaque jours en ressources.

- Dites voir vous deux, je peux savoir pourquoi tous le monde à pris ses baguages ?

- Tous mon peuple désir rester vivre sur Morina.

- Mais je ne suis pas sur d'avoir assez de ressource pour les nourrir.

- Nous ne somme que quatre vingt trois et nous emmenons toutes nos ressource. Tu auras plus que le temps d'augmenter la production.

- Alors il n'y à pas de problème.

Le jour du mariage.

- Voilà Elane, tu as épousé la plus belle femme que je n'ai jamais vue et j'en sais quelque chose. Je vous souhaite à tous deux tout le bonheur de ce monde.

- Merci Murtag. Merci de m'avoir servit toutes ces années. Tu as bien gagné ta liberté.

- Liberté ? Mais tu crois quand même pas que je vais arrêter de te servir ? Je suis avec toi, à la vie, à la mort.

- Bien que aujourd'hui, se ne sois pas à moi d'offrir des cadeau. Je vais t'offrir un petit quelque chose.

Il me tendis une boite. A l'intérieur se tenait, cette arme mythique.

- Je ...

- Tu as plus que mérité cette arme. Puisse t-elle remplacer ton vieux k-3.

- Tu ... Vous me faite le plus grande honneur que je ne puisse imaginer.

- C'est la fin Elane, plus jamais tu n’auras d'aventure en restant ici.

- Parce que j'ai épousé Tiphaelle ? Non ce n'est pas la fin. Mais belle et bien le début. Et le calme est aussi bon pour la santé.

- Je ne comprends pas très bien en quoi cela est le début.

- Tu comprendras plus tard.

Le mariage fut continué d'être fêté pendant encore plusieurs jours par tous les habitants de Morina et le peuple de Kasyyyk. Le devoument de la population pour leurs souverains était telle que une statue et plusieurs tableaux furent peints en leurs honneurs.

- Nan, c'est impossible. Ca ne peux pas m'arrivé à moi.

- Puisque je te dit que si. Le peuple L'a voulu. Tu es comme un second roi pour eux.

- Si on avait dis que cela allez arrivais il y à cinq ans je ne l'aurait jamais crus.

- Oublis une bonne fois pour toute ton passé. Te voilà devant ta statue. Te voilà devant un nouvel avenir.

Trois mois plus tard.

- Tu nous as fait demander ?

- Oui. Voilà tu vas devenir le parrain sauf si tu ne le veux pas bien sur.

- Le parrain ? De quoi tu parles ?

- Tiphaelle est enceinte.

- Félicitations à vous deux. J'en connais qui vont encore faire la fête pendant des semaines. J'accepte bien entendus avec grand plaisir.

- Oui félicitations à vous deux.

- Nifaène, je suis conscient que en ces dernier temps je tes mis à l'écart c'est pourquoi je t’offrirais une chose. Dis moi quoi et si il m'est possible, je te l'offrirais.

- Je voudrais ... je voudrais un atelier ou je pourrais fabriquer tous les vaisseau que je veux. Mais je voudrais qu'il soir dans une clairière loin de la ville.

- Accordé.

L'enfant né six mois plus tard. C'était un garçon. Il grandi vite.

- Tofff !

- Tofff ? C'est quoi sa Tofff ?

L'enfant pointât du doigt son père.

- Non, lui c'est papa. Dis papa.

- Tofff, Tofff, Tofff.

"Tofff" avait étais son premier mot qu'il avait prononcé. Depuis se jours tous le monde appela Elane par le surnom que lui avais donné son fils, Tofff.

Elane et Tiphaelle règnent toujours sur Morina et son empire sans ce soucier du lendemain. Leurs vies se fait au jour le jour.

FIN

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