ALLIANCE kira
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 La naissance d'un truand (RP2)

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tofff

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MessageSujet: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeMer 4 Juil - 18:10

Histoire commencer le 4 juillet 2007
Pourquoi J’écris ?
Pour faire plaisir à mes fans ! Voilà ma toute nouvelle histoire RP. Je sais que certain d'entre vous l'attendez avec impatience. (Prétentieux va !)
Non, plus sérieusement c'est parseque j'ai fini ma première histoire et j'ai aussi fini de la réécrire. Alors je pense qu'il est grand temps dans
recommencer une autre.
Attention

Merci de ne pas poster de message, ce topic est fait pour être lut pas pour être remplie de commentaire sans rapport avec l'histoire. Je tien à écrire toute l'histoire moi même ; si vous avait des idées/commentaires envoyer moi un message privée (votre idée ne sera pas forcément accepté)


Remarque

1) Durant les dialogues, CERTAINES couleurs correspondront toujours à la même personne.
Eric
Slach
Alex
Le vieux
L’asiatique

D'autre personnage se rajouterons peut être
Le blanc dépend du chapitre

2) Le narrateur est toujours le même. Il s'agit du personnage principal.

3) Je m'excuse tous de suite de toute les faute de grammaire, conjugaison, d'orthographe etc.

4) Cette histoire se déroule dans le "présent", elle n'a aucun rapport avec Ogame.
5) cette histoire n'a aucun rapport avec ma première histoire RP.
6) Si vous voulez mieux connaître la vile ou se passe l'histoire prenez une carte de San Andréas. (le jeu)



1


Je suis née très tôt dans la matinée du 5 janvier 1992. Dès lors j'eu une vie plutôt paisible. J'ai parcourus le système scolaire avec quelques bégards mais jamais je n'ai eu de problème pour aller à la classe supérieur. A l'age de dix ans ma vie devins bien plus triste, mon père est mort d'un cancer. Cela m'a bouleversé pendant une année, avant que je ne me remette de se drame. L'année de ma troisième mon grand père est mort d'un arrêt cardiaque. Cette mort ne m’avait pas rendu très triste. J'ai donc continué ma scolarité dans un lycée technologique de ma région. Une fois que j'eu mes diplômes en mains je me mis à la recherche d'un travail. Mais la crise économique m'avais obligé à n’être qu'un chercheur d'emploie sans vie. Le jour de mes vingt trois ans, un collecteur des impôts me jeta à la porte de ma maison.

Il pleuvait à torrent, l'eau commencer a inonder les maison les plus basses et les plus pauvres. Je remontais le long de East Beach jusqu'a Las Colinas, puis je marchais en direction du Mulholland. Mais la nuit et la fatigue eurent vite raison de moi et je dus trouvais refuges sur un parking. Je tentai de m'abriter derrière quelques plantes qui poussaient sa et là, mais je fus très vite trempé jusqu'aux os. La fatigue m’obligea néanmoins à dormir. Je fermis les eux et sombrais très vite dans les ténèbres.

Je ne dormis pas longtemps. Je repris ma marche au milieu de la nuit. Je n'atteignis Montgomery que tard dans la soirée. J'entrer dans le premier faste food qui m'apparue. Je donnais mon dernier dollars pour pouvoir manger une pizza tiède.

- Hep vous !

- Moi ? Quoi ?

- Il vous faudrait pas de la main d'oeuvre ?

- Tu peux travailler ici six heure par jours pour un SMIC ?

- Il me faut un travail.

- Alors bien venus dans la maison. Tu comence demain à cinq heure.

- Ok merci.

Je partis, continuant de marcher sous cette pluie. Je me suis finalement retrouvé devant mon appartement à Fern Ridge. C'était une simple maisonnette de bois pourri construite sur le versant d'une colline. Perdu entre les arbres, isolé de la civilisation, elle offrait une belle vue sur la forêt en contre bas. Une carcasse de voiture brûlée traînait à côté de la maison. Je montais sur le pallier, cherchait pendant un instant les clés dans ma poche. La clé toucha la porte qui s'ouvrit. La porte avait été forcée. A l'intérieur tout se qui avait de la valeur avait disparut. Je me rappelle quand nous venions en famille durant l'été. Nous faisions des grillades et nous regardions la télé le soir venu. La télé n'était plus là, toute comme le frigo, le lit, le canapé ou la chaîne hi-fi. Les murs avaient été tapissés de vomi, de merde, de tags. Les toilettes avaient été brisées, le robinet tordu, les vitres éclaté, les lampes arrachées. Voilà la seule chose qu'il me restait. Je me couchais sur le sol plein de terre et je fermis les yeux.


Dernière édition par le Lun 16 Juil - 20:23, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeVen 6 Juil - 12:31

2
Ma montre me réveilla il était déjà quatre heures. Je me levais douloureusement et partis de suite vers mon travail. Je descendis la colline, longeait la route jusqu’aux faste food.

- Beurk tu schlinge mon gars. Hors de question que tu touche à un seul client ! Tu va derrière, tu lavera les friteuse et tu fera la plonge.

Je me suis donc retrouvé à nettoyer leurs friteuses et à faire la vaisselle. Le soir en rentrant chez moi j’ai croisé une femme à la sortie de la ville. Elle était totalement affolée, elle hurlait dans son portable pour que quelqu’un vienne la chercher. Je remarquai immédiatement son portable dernier cri, ses vêtements de créateurs et ses bijoux en or. Sans aucune hésitation je sortis un couteau que j’avais pris au fast food. Je marchais tranquillement jusqu’à elle puis je me suis rapidement mit derrière elle. Je plaçais la lame sous sa gorge et lui chuchotai à l’oreille.

- Donne moi ton portable, ton argent et tes bijoux ou je te tue.

- Lâchez moi tous de suite ou je vais devoir vous faire mal.

- Je n’ai pas que sa à faire alors dépêchez vous.

Elle me donna un puissant coup de coudes dans les côtes, je due lâcher prise. Elle se retourna et me frappa une dizaine de fois au visage puis elle tenta un faire un coup de pied retourné. Mais elle rata et tomba au sol. Je me jetais sur elle et plantais mon couteau dans sa poitrine. Elle hurlât de souffrance, je la frappais de toutes mes forces au visage pour la faire taire. Elle mourut. La panique s’empara de moi, je n’avais pas voulu lui faire de mal. Je voulais juste arrondir mon fin de mois. Nous étions à une centaine de mètre du village, il n’y avait pas de lampadaire ni de circulation qui auraient pus m’éclairais mais je décidais de ne pas traîner là. Je pris son corps sur mon dos et je la portais jusqu’à chez moi. La, je lui prit tous ; son portable, ses bijoux, ses vêtement, son argent. Je sortis, ramassais une pelle rouillé qui traînait là et me mit à creuser.

Ma montre me réveilla il était déjà quatre heures. Je sortis de chez moi et restais un instant sur la tombe de cette jeune femme. De tous les crimes que j’ai commis, le meurtre de cette femme et le seul que je regret. Après cela je suis retournais nettoyer les friteuses et la vaisselle. Le soir en rentrant je croisais un homme. Il marchait jusqu’à un parking, s’arrêta devant une moto cross et chercha les clés dans son sac. Je l’avait suivit, faisait comme si moi aussi je cherchai les clés de ma voiture. Il me regardât d’un drôle d’air puis me tournât le dos. Je me déplaçais discrètement jusqu’à lui puis je lui dit la même chose que je que j’avais dis à la femme de hier soir. Il pontât alors un flingue vers moi sans vraiment savoir vers ou le canon de l’arme était dirigé.

- Si tu veux me braquer fais le avec quelque chose de plus puissant qu’un couteau maintenant tire toi.

J’éclater sa gorge, le sang giclât sur plusieurs mètres. Je pris son sac, j’y trouvais les clés de sa moto. Je pris le corps et posais à l’arrière de la moto. Je roulais jusqu’à la rivière qui passait en amont de ma maison. J’y jetais le corps puis je remontais jusqu’à chez moi. Je fit le compte de se que m’avait rapporté ces deux meurtre. Deux portable, des bijoux en or, des vêtements de créateurs, soixante dix dollars, une moto, un flingue, une clef USB et dix huit litre de sang.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeDim 8 Juil - 19:23

3

Ma montre me réveilla il était déjà quatre heures. Je marchais jusqu'à la ville. Comme a son habitude le travail fut chiant. En rentrant je rentrer dans un magasin de bricolage. J’y acheter un pots de peinture puis je suis allé acheté une couverture et un oreiller dans une grande surface. En rentrant je croisé une vieille mémé. Elle ne résista pas et me donna cent trente dollars. Je repeignis ma moto d’un vert émeraude puis j’allais me coucher.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures moins le quart. Je pris ma moto et je descendis jusqu’au faste food. En rentrant du travail je croisé des gens mais je ne m’arrêté pas. Je roulais jusqu'à Blueberry un petit village situé a dix kilomètre (a vole d’oiseau) de Montgoméry. Je m’arrêté devant le faste food de la ville. J’entrai à l’intérieur.

- Et pour vous se sera quoi ?

- Pour moi se sera la caisse connase !

- Ok ok ok tirez pas. Voilà la recette de la journée.

- Merci salope.

J’ai pressé la détente. Sa cervelle a volé jusque dans les friteuses, son sang éclaboussants les murs et les cuisiniers qui travaillaient à l’arrière. Je partis en hâte, enjambant ma bécane et partis à plein gaz. Une voiture de police me poursuivi. J’ai un chemin très sinueux pour m’en débarrasser. Elle me perdu de vus peu de temps avant que je ne quittais la ville. Je me rendis ensuite au bord de la rivière qui passé en amont de ma maison. Il y avais un endroit tranquille ou la petite falaise ne m’empêchais pas de remonter. Je me suis donc déshabillé et me suis lavé dans cette eau froide mais au combien de fois plus propre que ma maison.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures moins le quart. Je descendis jusqu’à mon taf. A ma sortis je suis allé m’acheter un casque de moto et quelques cartouches.

- Je veux un chargeur, pour ce révolver.

- Mon dieu, un vieux Smith & Wesson Model 29, on en fait plus des comme sa. Combien de cartouche vous voulez ?

- Je un chargeur, six balle quoi.

Il partis un temps a l’arrière boutique puis reviens. Il posa une petite boite sur le comptoir.

- Sa nous fait 30 dollars s’il vous plaie.

Je payais puis je partis en directions de Palomino, village à dix kilomètre à l’est de mon travail. Je suis entré dans le faste food en prenant soin de garder mon casque pour pas que l’on puise me reconnaître. Le « resto » était vide seul un caissier astiqué le comptoir. Il y avait une montre au fond de la salle elle indiquait vingt deux heures.

- Vous êtes tellement pressé que vous n’avez pas enlevé votre casque ?

- Ferme ta putin de gueule et donne moi le blé et joue pas au héros ou je t’explose la gueule !

Il vida la caisse de geste rapide et stressé. Il me posa l’argent sur le comptoir.

- Tu crois pt’être que je vais le foutre dans mes poches ?! Donne moi un sac !

- Voilà voilà, maintenant partez ne me faites pas de mal.

Je pressé la détende.

- Maintenant tu fermeras ta gueule pour un petits temps.

Je partis mais voyant qu’il n’y avait personne je décidé d’aller chercher de l’essence dans ce village. Je reviens au faste food. J’y rentrais de nouveau. Comme les lieux étaient déserts je suis allé en arrière cuisine. J’ai allumé toutes les friteuses et je suis partis.

Du haut de ma colline au pouvais voir au loin une lumière jaune. Cette lumière c’était l’incendie provoqué par les friteuses.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je profité du samedi jours de congé pour moi pour partis en moto jusqu'à une grande surface. J’y dépensés tous mon argent accumulé par mes case dans les faste food sois environs 2400 dollars. Je du voler une camionnette pour pouvoir tous déposé chez moi. Un ordinateur et son scanner/imprimante, un frigo, un balai, un aspirateur, plusieurs pots de peintures, Un robinet, et quelques fringues. Après avoir tous déposé je me suis rendus a l’entré de Montgoméry. (la ou je taf) Je me suis mis à creuser. Situé à 1.5 m de profondeur un câble passait là et alimentait tous le village en électricité. Maintenant j’en été sur mon plan allé se réalisé sans problème.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeLun 9 Juil - 19:04

4

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je roulais comme d’habitude jusqu’au faste food. Tous les employés et le patron se tournèrent vers moi.

- Putin sa craint à mort.

- Quoi ? Quesque vous avez tous ?

- T’es pas au courant au quoi ! Hier soir encore une fois. Et se soir se sera notre tour je vous le dis.

- Mais vous parlez de quoi ?

- Avant-hier soir un faste food de notre chaîne c’est fais braqué et la caissière et mort. Hier soir un autre faste food de notre chaîne c’est fais braqué et la le caissier et mort et le faste food à été incendié. C’est faste food se trouvais dans la régions et il pensent tous que se soir c’est à notre tour.

- Mais oui patron se soir ont va nous tuer. En tous cas moi je démissionne.

- Moi aussi.

- Je te suis.

Tous les employés sortirent, il ne restait plus que moi et le patron.

- Putin fait chier ! Et toi ? Tu par aussi ?

- Je vous l’ai dit j’ai besoin de fric.

- Alors ta le droit à une promotions, te voilà caissier.

- Combien je suis payé ?

- 1.300 dollars brut.

- Je risque de me faire flingué et je vais avoir beaucoup de taf si je dois aussi cuisiner. Moi je dis que sa vaux 1.500 dollars net.

- D’accord, tu auras ton blé mais comme tous de suite à travailler.

Les clients entrèrent, commandèrent des pizzas et moi je prit soin de ne noté que la moitié de leurs commande en leurs faisant payer le prix normale. J’ai donc pus récupérai la moitié de la recette de la journée.

Je suis rentrai chez moi, j’ai prit ma camionnette puis j’ai roulé jusqu’à Dilimore. Encore un charmant et paisible village. Je suis entré dans un garage.

- Bonjours je viens pour une peinture. Vous me transformé cette caisse en camionnette de EDF.

- De EDF ? C’est pas très clair tous sa, alors on fais sa au noir hein ?

- Ouai sa vaux mieux. Combien ?

- Le double, 500 dollars, et tu paye d’avance.

- Tien voilà ta tune maintenant tu me repeint sa tous de suite.

Il partit se mettre au travail. Je sortis du garage et fis un tour dans le coin. Le village avait du potentiel. Un coiffeur, un garage, une famille bourgeoise, mais la présence d’un commissariat réclamait un peux plus de doigté. Lorsque je refis mon apparition dans le garage ma camionnette était prête. Je me suis stationné devant le coiffeur. Je me revêtis d’une salopette bleue et d’une caisse à outils que j’avais volé au garage.

- Bonjours monsieur. Je suis un technicien de EDF je viens contrôler votre installation électrique.

Il eut un doute et il regarda derrière mon épaule. Il fut berné et m’emmena en arrière boutique puis il retournât s’occuper de ses clients. Je ressortie un quart d’heure plus tard.

- Alors ?

- Il n’y à aucun problème vous pouvez utilisé l’électricité sans risque.

Je suis monté dans ma camionnette et je me suis déplacé jusqu’au niveau de la ruelle. Là il y avez tous se que j’avais sortis par la porte arrière de chez le coiffeur. Je chargé la camionnette puis je partis vers la maison des bourgeois. Ils furent eux aussi berné par mon déguisement mais le père ne me lâcha pas une seconde. Je dus faire semblant de contrôler leurs installations. J’eu soudain une autre idée. J’ai demandé les toilettes. Je mis suis rendus puis j’en suis sortis discrètement. Je fis un détour par la cuisine et j’y volé une paire de clés avant de redescendre dans la cave. Je me suis introduis dans la maison par la porte arrière, la camionnette était toute proche. J’y volé beaucoup de matérielle électronique. Lorsque la camionnette fut pleine je rentrai chez moi. Parmi tous se que j’ai volé j’ai gardé une console de jeux une chaîne stéréo, et deux trois autres broutilles.

Je me suis donc rendu trou que j’avais creusé l’autre jour. J’ai coupé le fil plongeant ainsi Montgoméry dans le noir.

Le lendemain mon patron me dit que nous étions au chômage technique. J’en ai donc profité pour allé au niveau du câble. Il n’y avait personne. Je me suis cacher à une dizaines de mètre derrière quelques arbustes. Dans L’après midis deux agents de EDF sont venus.

- Pfff encore ces salopard de jeunes qui s’amuse à couper les fil.

- Une soudure et c’est bon.

J’ai alors tiré une balle dans le corps de l’un des deux agents. Le survivant tomba à la renverse. Je sortis de ma cachette, il se tournât vers moi, tétanisé de peur.

- Pi…pitié.

- J’ai un service à te demander. Je veux que tu me fournisses en électricité.

- Il suffit de faire une lettre à EDF et on l’aurai fait pitié ne tiré pas.

- Mais moi je veux sa gratuitement. Il y à déjà une ligne mais elle à était coupé du réseau. Tu va la rebrancher au réseau.

Il travailla d’arrache pied pendant que je le surveillé de mon arme.

- Voilà c’est fait, puis je partir ? Pitié ne tiré pas !

- Tu vas d’abord rebranché mon arrivé d’eau sur le réseau.

- Mais c’est pas mon travail.

- C’est l’affaire d’une soudure allez vas si.

Il m’offrit l’eau et l’électricité.

- Maintenant tu va me donner ton portable, ton fric et tes cartes de crédits.

- Voilà pitié laissez moi partir.

- Donne moi le code de ta carte.

Il me communiqua le code de sa carte.

- Pitié laissez moi partir.

- Oui tu vas partir, mais pas chez toi, en enfer.

Son corps tombât par terre inerte. Je le pris et le jetais dans la rivière. Je lui volé aussi sa camionnette et tous son matérielle. Je soudé le câble redonnant ainsi l’électricité à Montgoméry.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeMar 10 Juil - 15:44

5

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. J’ai continué de prendre ma par de fric sur les commande de la journée. Puis le soir je suis rentré en hâte. J’ai installé tous le matérielle que j’ai volé ou acheté. Ordinateur, chaîne hi fi … j’ai aussi nettoyé les murs et les ai repeint. Aux douze coups de minuit mon taudis était redevenu une maison.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je reçu ma paye que le soir je m’empressé de dépenser dans des tapis, matelas, couverture et nourriture. Cela faisais déjà une semaine que je ne mangé que des pizza. Je partis déposer mes achats chez moi puis je partis pour Blueberry. Je suis entré dans un ammu-nation et je acheté au noir 300 gramme de C4. Je suis retourné à Montgoméry. J’ai stationné ma moto derrière ma cible. J’ai ouvert la porte d’un coup de pied. Une femme sans doute secrétaire était occupée à compter l’argent.

- Salut, tu va me donné tous se blé et ouvrir la porte du coffre.

- Mais on est un bookmaker (bureau de paris sur les course des chevaux) pas une banque on a pas d’argent.

- Te paye pas de ma gueule poupée, se blé et pas tombé du ciel. Allez magne ou je te fais explosé la cervelle.

- Oui oui, voilà voilà.

Elle ouvrit Une porte blindée qui donné sur une minuscule pièce. Il y avait tous juste assez de place pour un coffre ne table et une chaise.

- Maintenant, ouvre le coffre.

- Je n’ai pas la clé.

- T’es sur ?

Je tiré sur le chien. (Partie du flingue qui est d’ailleurs braqué sur sa gueule)

- C’est le patron qui l’a. Pitié ne me tué pas !

- Ok, alors on va faire autrement.

Je lui ai frappé le sommet du front un puissant coup de cross. Elle tomba totalement assommé sur le sol. Je pris son corps par les jambes et la poussé jusqu'à l’autre bouts de la pièce. Je revenus devant le coffre et j’y posé ma charge de C4. Je fis explosé tous sa. Certes certains billets furent détruit mais la plus part n’avait rien. Je réunis l’argent dans un sac à dos puis j’assis la femme à l’arrière de la moto. Je suis rentrai chez moi comme si de rien n’était. Lorsque je sortis de la ville j’ai croisé quatre voiture de police qui roulait à plein gaz vers le bureau de paris. Aucune ne réagis en me voyant passé en moto, chargeai d’un gros sac à dos est d’une femme évanouis.

Je jeté la femme sur le sol fraîchement nettoyé de ma maison et je commencé à compté ma recette.

- 4400 … 4500 … 4600 … 4700 … 4800 … 4900 et 5000 dollars. C’est pas mal pour une journée.

- Ho putin un de ces cauchemar de fous. Elle leva la tête. Nan putin c’était pas un rêve.

- Non ma pute c’était pas un rêve.

- Ou suis-je ? Pitié laissé moi partir ! Je ne dirais rien !

- Ferme ta gueule.

Je lui donnai un coup de cross à l’arrière de la tête. Le coup avait été très puissant. Si puissant qu’un filet de sang coulé dans ces cheveux. Elle se réveilla quatre plus tard. Elle n’osa rien dire.

- Tu me dois du fric.

- Je ne vous dois rien.

- Au que si. Tu me dois du fric et tan que j’estimerais que tu ne m’aura pas rendus mon blé tu travaillera pour moi.

- Je vous donnerai tous mon compte en banque mais laissé moi partir.

- Tu feras les trottoirs. Ton salaire sera le droit de garder la vie. Tu travailleras de 19 à 6 h tous les jours.

- 10 h par jours !

- Comme je suis un homme bon, je te laisse le choix. Sois tu taf pour moi, sois t’explose la gueule.

- Tous se que vous voudrez.

- Biens tu commences dès demain soir. Maintenant dort et ne fais pas de bruit sinon …

Je me coucher pendant que elle, les mains attachées dans les dos et les pieds attachés au pied de mon lit essayé de survivre.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je partis au village. Je suis entré dans le faste food mais il était désert. Il y avait juste une lettre posé sur le comptoir. Je la lus.

Eric,

D’abord celui de Blueberry ensuite celui de Palomino ensuite un coiffeur et un bourge de Dillimore maintenant le bookmaker de Montgoméry. Je craque, j’ai peur pour moi et ma famille. Il y a quelqu’un ou un gangs qui a décidé de détruire la région. C’est pour cela que j’ai demandé à être muté à San Fierro. La direction de Well Stacked abendone se magasin car il ont subit des pertes de bénéfices. Je t’ai laissé mes clés. Fais se que tu veux de se magasin de merde, transforme le en maison, en billard en casino je m’en fous. Le magasin et le terrain sont a toi. Je te laisse aussi ma maison, elle et en fasse de l’hôpital, elle est peinte en vert. Tous se que tu trouvera dedans et à toi. Tu trouveras dans mon bureau une feuille, tu la signeras pour avoir tous mes biens.

Je te souhaite bonne chance.
Ton ancien chef.

Grâce aux économies de ma pute, de l’argent de la carte de crédit de l’agent de EDF et à la tune de mes casses je pus transformer le faste food en bar.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeMer 11 Juil - 15:37

6


Pendant que mon bar était en travaux j’ai fais suivre mon courrier ma nouvelle propriété. J’ai d’ailleurs installé une seconde pour mes locataires. J’avais décidé de louer cette maison. Mais mes crime dans la région avait quelque peu fais fuir les gens et je fus obligé de baissé le loyer à 100 dollars par mois pour trouvé quelqu’un d’intéressé. Le mec été louche, il semblait être comme moi un mec qui vie de ses casses. Je suis rentré chez moi pour nourrir ma pute.

- Je croyait que je devrais faire la pute pour votre compte.

- Sois pas impatiente, j’ai d’autre plans, beaucoup plus audacieux. Maintenant tu la boucler.

Ma boit au lettre ne se remplissais que de publicité, mais quoi de mieux pour choisir ses prochaines cibles ? J’ai volé un camion et sa semi chargé de pétrole. Je l’ai conduit jusqu'à une entrepris situé un peu au nord de l’intersection de Flint. Je mis plusieurs heures avant d’atteindre le lieu. Je me suis garé devant le bâtiment. La un vieux types est venu.

- On ta mal renseigné petit, ici on vend des pièce de camion, on exporte notre marchandise mais on importe rien.

- Je viens pas importer, je viens vendre.

Le papi me regarda d’un air malicieux.

- Tu transportes quoi ?

- La semi ? Elle est plein d’un liquide mais lequel ?

- Allons voir ça.

Il grimpa par l’échelle et regarda à l’intérieur, il renifla les vapeurs puis referma.

- Sa c’est du diesel. Je te donne 5.000 dollars pour la cargaison.

- Et le camion ?

- Ha, je vois. Je croyait que tu vendais au noir mais en fais se n’est même pas ton camion.

- Combien vous m’en donné ?

- C’est un model récent mais commun, je t’en donne 7.000.

- Vous vendais des pièce de camions, alors une fois démonté vous n’aurais pas de mal à écoulé un stocke de pièce récent et commun. J’en veux 11.000.

- Enfin un dur et un dur qui réfléchis avec sa tête qui plus ai. Je t’an donne 10.000

- C’est 11.000.

- Ma dernière offre est à 10.000

- Alors salut.

Je m’installé dans le camion et je fis quelque mètres.

- Attend ! Je tan donne 10.500.

Je stoppé le camion, abaissé la vitre et lui dis.

- J’en veux 11.000.

- D’accord 11.000.

J’ai garé le véhicule dans leurs hangar puis le vieux ma filas une liasse de billets.
- Voilà tes 11.000.

- Attend une minutes, il y a trois billet de 100 a l’avant et a l’arrière mais au milieu il n’y a que des billets de 5. Alors je vais vous dire comment on va faire. Vous aller m’en donner 13.000 et une voiture.

- Donne moi une seul raison de faire sa.

- Sinon je pars avec le camion et la cargaison.

- Et tu en feras quoi ? Sa ne te servira à rien.

- Je suis sur qu’une station essence rachètera mon essence au noir.

- Ok, t’es dur en affaire toi.

- Par ici la tune.

J’ai reçus l’argent puis je suis parti avec la voiture qu’il mon donné. C’était une vieille mustang mais le moteur ronronné encore très bien. Je suis rentré chez moi et j’ai garé ma nouvelle acquisition. Je suis allé à la mairie de Montgomerry pour faire le plein, prendre deux bidons d’essence et faire officialiser mon entreprise.

Les travaux furent finis deux semaines plus tard. Je m’était tenu à carreau pour ne plus affoler la population. Le jour de l’ouverture je reçu une dizaine de clients, le lendemain une vingtaine, le surlendemain une trentaine. Je dus très vite engager une serveuse et un cuisinier pour suivre la cadence. Mais se qui ma permis d’avoir tan de client c’était surtout mon service secondaire. Au premier étage ma pute travaillée dure pour me ramener de la tune.


Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je me suis rendu à ma propriété, j’ai sonné mais personne n’est venu. Je suis entré par la porte qui était ouverte et j’ai cherché mon locataire. Je l’ai trouvé allongé sur le sol de la cuisine. Il été totalement défoncé.

- Yo, tu veux un peu de canabise ? Pourquoi t’es tous vert ?

Je vus sa petite exploitation qui été discrètement planqué dans le placard.

- Alors comme sa vous cultivé du canabise dans ma propriété.

- Merde le proprio, bas pas grave je lui en donnerai un peux.

Je pris du scotche qui traînait là et je l’ai solidement attaché, puis je suis allé superviser mon entreprise. Je ne suis revenu que le soir pour voir mon locataire.

- Salut mon gars, alors toujours défoncé ?

- Détache moi.

- Tu sais que c’est moi qui t’es attaché ?

- J’ai fumé du shit j’ai pas Alzheimer.

- Tan mieux comme sa tu saura que je suis au courant pour ta petite culture.

- Combien de gramme tu en veux ?

- De gramme ? Non il ne s’agit pas de gramme mais de kilos. Tu va produire en grande quantité du canabise.

- Et ou je vais trouver les plantes pour sa ?

- Tu a trouvé une plante pour ta culture personnelle maintenant tu va trouver des plante pour une vrais culture.

- Il me faudra de la place et faire sa discrètement si les flic vois sa.

- Tan fais pas pour les flics, ont marche ensemble maintenant. Comment tu t’appelles ?

- Moi c’est Slach et toi ?

- Moi c’est Eric. Tu vas t’occuper de trouver les plantes et moi je me charge de nous faire construire une cave discrètement.

- Attend une minute. Pourquoi je prendrai tous ces risques pour toi ?

- Je te laisse 50 % des bénéfices.

- La on parle la même langue.

- Mais tu ne devras plus fumer le shit.

- Je ne fume pas l’argent.

Il faisait nuit mais je suis quand même retourné à l’entreprise de camion. Je suis arrivé très tôt dans la matinée mais le vieux été déjà debout.

- Salut gamin, quesque tu me rapport cette fois si ?

- Aujourd’hui je donne pas, je prends.

- Quesque je peux faire pour toi ?

- Je voudrai faire construire une cave chez moi, mais discrètement.

- Tu sais que je vends des pièces de camion ?

- Mais je suis sur que tu a de la main d’œuvre et du matériel.

- Qu’elle taille elle fera ta cave ?

- Je la veux de 300 m² et situer à 4 m sous le sol, le tous bétonné pour que rien ne puisse passé.

- C’est un boumker sa.

- Combien ?

- 13.000 dollars et une mustang.

- Tu veux récupérai ton fric ? D’accord mais je te donne 15.000 et je garde la tire.

- T’es fous elle vaux 16.500 dollars.

- Je veux gardé cette caisse alors je te donne 13.000 tous de suite puis 15.000 plus tard.

- C’est tout de suite ou jamais.

- Alors tu refuses 28.000 dollars ? O.K comme tu le sens, à la prochaine.

- Ho attend, d’accord 13.000 tous de suite et 15.000 après.

- Non maintenant c’est 15.000 tous de suite et 9.000 après.

- T’es fou !

- Alors je me tire et si tu me rappelle sa sera encore moins décide toi tout de suite et tu évitera la casse.

- O.K c’est vendu.

- Demain matin tu viens discrètement à Montgomery. Tu vois ou c’est ?

- Me prend pas pour un touriste ! Je serai la.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je descendis jusqu’à Montgomery. Il y avait un camion stationné au milieu de la ville. Je me suis arrêté pour leur dire de me suivre. Il on garé le camion un peu à l’extérieur de la ville et ont transporté les machine jusqu’à chez moi. Mon empire été entrain de naître.


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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeJeu 12 Juil - 0:37

7

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je me suis rendus à ma petite exploitation pour voir ou en été les travaux. La cave en était à sa moitié et la première livraison des plantes été arrivée. Au bar les clients afflué par vingtaines, tous avait eu vend des activité qui se déroulé au premier étage. Mais voilà, il y avait plus de demande que d’offre je suis donc parti en ville chercher de la marchandise. J’ai roulé en mustang jusqu'à Los Santos pour rencontrer une connaissance de Slach. Il habitait à Willow Field dans la maison la plus riche du quartier. Le quartier était pourri les maisons menacées de s’écrouler sauf une. Elle était tous aussi moche et pauvre que les autre mais les fondations avaient l’air plus solide. J’ai sonné à la porte. Elle c’est ouvert sur un drôle de type. Il faisait une tête de moins que moi, ses cheveux était coiffés avec un pétard et il avait une étrange cicatrice sous l’oreille droite. Sa vois était un peux enfantine.

- Quesque tu veux ?

- Je chercher un mec nommé Alex.

- Il est en face de toi.

- C’est Slach qui ma parlé de toi. Il parait qu’on pourra faire du bizness ensemble.

- Viens à l’intérieur, on parle pas de sa ici.

On s’assit sur un canapé en buvant quelques canettes de bière.

- Tu cherches quoi ?

- Je possède un bar et je veux de la distraction.

- Je vois, et donc tu est venu me voir.

- Oui j’en possède une mais là j’en veux plusieurs.

- Combien ?

- Sa dépens de ton prix.

- 3.000 l’unité de base.

- Dans se cas je t’en prend 3.

- Ok suis moi.

Il est sorti dans la rue. Il est monté dans sa caisse, je l’ai suivi jusqu'à Ocean Docks. Il c’est arrêté devant un hangar et il est entré, je l’ai suivis. 300 ou peut être 400 fille était la assis sur le sol en attendant qu’on les achète. Elle avait de 9 à 30 ans.

- Vas y choisis celles que tu veux.

Je pris mon temps pour toute les regarder. Je pris deux blondes et une brune âgé de 17 ans.

- Tu me dois 9.000.

Je lui tendis une liasse de billet qu’il s’empressa de compté, une fois qu’il fus sur que le compte y était il me dis.

- Il te faux autre chose ? Des accessoires ? Des vêtements ?

- C’est que en se moment j’investie tous tu vois.

- Ouai, alors reviens me revoir quand tu veux.

J’ai chargé les putes dans la coffre est je suis rentré à Montgoméry.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Mes trois nouvelles acquisitions sont entrées en service dès le matin. J’ai engagé un serveur cuisinier supplémentaire puis je suis aller voir comment avancé la cave. Il était entrain de finir les derniers détails. Se soir elle sera prêt et nous commencerons l’exploitation.

- Tiens le vieux, voilà ton fric.

- Merci gamin. C’est un plaisir de faire des affaires avec toi.

- Avant que tu partes je te le dis tous de suite. Il me manque un peu de cash pour aménager cette pièce alors demain je te rapporterai un camion.

- Je t’aime de plus en plus gamin.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeJeu 12 Juil - 12:50

8

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je descendis au bar pour informé mes employé que je ne serais pas la aujourd’hui. J’ai ensuite pris la route de Blueberry, je me suis arrêté dans la zone industrielle et j’ai volé un camion. J’avais installé ma moto à l’arrière, entre la semis et le camion. J’ai roulé jusqu’à l’entreprise du vieux. Il ma acheter le tous pour 13.000 dollars, cette fois ci il n’avais essayé de m’entuber. Je suis rentré à Montgoméry et j’ai donné l’argent à Slach pour qu’il puisse acheté tous le matériel qu’il avait besoin.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je descendit au mon bar. Tous les clients prenaient un petit déjeuner avant d’aller travailler. Deux policier rentraire il virent au bar et me dire.

- On a entendus qu’il y avait une distraction ici.

Sous le bar j’ai discrètement tiré sur le chien de mon gun.

- On vient vérifier que tout est en règle. Vous savez que les maisons clos son soumis à de très nombreuses restrictions.

- Je suis au courent, mais je ne vois pas pourquoi vous de dite sa.

- Etes vous le patron de cet établissement ?

- Oui c’est moi.

- Alors montré nous votre distraction.

- Si vous allez la bas vous pourrez jouer au poker avec d’autre personne.

- C’est tout ? Rien de plus ? Pas de putes au premier ?

- Et si il y en avait sa vous intéresserai ?

- A vrai dire, il me semble que cet établissement n’est pas en règle.

- Oui t’a raison, il prend sa part sur les paris de poker.

- Je ne prend rien du tous.

- Alors montrez nous votre vrai distraction.

- Ici ont pays puis on s’amuse.

- Mais je suis sur que vous nous ferai un prix d’amis.

- Mais bien sur, pour vous se sera 150 dollars chaqu’un.

Il payèrent puis montèrent au premier. J’ai relâché le chien de mon flingue. Lorsqu’ils descendirent le bonheur se lisait sur leurs visages. Ils commandèrent encore quelques baigné puis ils partirent. A midis deux autres flics sont venu. Je compris vite que tout le commissariat de Dillimore était au courant de ma petite affaire, mais aucun ne voulez m’arrêter. Il été comme de chien en chaleur, cherchant du temps pour trompé leurs femmes. Il renfloué ma caisse d’un bon paquet de fric.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. J’ai appelé Slach pour avoir des nouvelles de notre exploitation.

- Ouai, c’est qui ?

- Yo c’est Eric. Je viens prendre de nouvelle de notre affaire.

- Tous est fin prêt mec. Mais sa va prendre du temps avant les premières récoltes. Les plantes sont encore jeunes.

- Y en a pour combien de temps ?

- Deux à trois mois, ensuite on pourra récolter tous les mois.

- Sa roule, je te laisse à plus.

Je suis parti pour le bar. Vers 15 heures deux types sont entrés, le bar été désert.

- Quesque je vous sers ?

- La caisse connard.

- Vous voulez pas boire avant ?

Je tiré sur le chien …

- Ferme ta gueule ou je t’explose.

Il braqua un 9 mm sur moi. A l’arrière mes employé se caché. Ils étaient tous paralysé par la peur.

- Mais fais moi sauté la gueule qu’on rigole comme sa tu aura l’air d’un con quand tu voudras ouvrir la caisse est que tit arrivera pas.

Les deuxième gars partie en cuisine, il fit sortir mes employer.

- Aller la caisse, ou il y passe tous.

- Mais tire, explose ces connards j’en ai rien à branler.

Les deux gars se sont regardé puis l’un d’eux à dis.

- On prend la caisse.

Je lui tendis la caisse. Il marchât vers la porte pendant que sont acolyte couvrait ses arrière. Mais avec son regard perdu ses mes employé il ne couvrait rien du tous. J’ai donc pus lui tiré une balle en plein cœur sans mal. L’homme qui tenait la caisse partis en courant. Mais soulever une caisse de 10 kilo n’était pas chose aisé. Il prit une balle dans le dos. J’ai appelé la police.

Ils sont venus, il ont vus, et m’on innocenté sur parole. Aucun d’eu ne voulait la fermeture de mon bar. Ils m’ont même donné l’adresse d’une entreprise de sécurité. J’ai appelé cette entreprise.

- Ouai, vous voulez quoi ?

- Je suis biens à l’entreprise, Autoprotec ?

- Ha mais oui monsieur.

- Attend une minute, je conné ta voie.

- Moi aussi, Eric ?

- Alex ?

- Ouai.

- Alors t’as aussi une entreprise de sécurité ?

- Tu sais moi je touche à tous. Quesque je peux faire pour toi ?

- J’ai besoin d’un surplus de sécurité. Il me faudrait trois micros caméra.

- C’est tout ? Tu sera jamais protégé avec sa !

- Ta raison en plus j’ai du blé la. Alors je te prends 6 caméras, un coffre blindé et un fusil à pompe.

- Pour les caméra et le coffre il y a aucun problème mais je vend pas d’arme.

- Ok alors propose moi quelque chose.

- Alors j’ai un système qui appel les flic et un autre système qui ferme toutes les portes d’un bâtiment et toutes les fenêtres.

- Ok je prend ces deux système plus deux portes blindé et pour mes 10 fenêtres je veux un cadre blindé avec du verre résistant au balles.

- Ok alors sa fera 16.600 dollars.

- Tu me livres ?

- Bien sur, ou sa ?

- Je suis à Montgomérry, tu livre sa au seul bar de la ville.

- Mes hommes seront la après demain. Tu leurs donnera le fric.

- OK merci mec, à plus.

- A plus.

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Au bar on ne parlait plus que du case d’hier. Cela avait attiré l’attention sur moi me donnant ainsi encore plus de client. Les flic patrouiller souvent devant le bar, il aimait ce bar comme une relique de dieu.

Le matériel arriva le lendemain. Les hommes l’installèrent prirent le blé puis partir. J’avais appris que même les criminels peuvent se faire braquer.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeJeu 12 Juil - 17:45

9

Ma montre me réveilla il était déjà cinq heures. Je partis pour le bar. Un jeune garçon venu me voir au bar.

- Vous avez besoin de main d’œuvres ?

- C’est payé 1.200 dollars net pour le serveur et 1.500 dollars net pour le cuisinier.

- Je suis cuisinier.

Je l’ai regardé plus attentivement, il avait 16 ans au maximum.

- Tu sais cuisiner toi ? Ben on va voir sa, va en cuisine dis au cuistot que tu est à l’essai. Il te donnera tous se qu’il te faut. Tu me fera mon petit déjeuné, je veux des crêpes.

Il revint une demi heure plus tard. Les crêpes été tièdes et la pâte avaient des grumeaux. (Bulle d’air dans la pâte)

- Et avec sa tu pense pouvoir travaillé pour moi ?

- C’est la première fois que je fais des crêpes. Je suis meilleur pour faire toute sorte de poissons et de bœuf. Mais chez moi je travail avec du gaz et vous vous avez du vitro électrique.

- C’est une excuse ?

- Avec un peux de travail je m’améliorerai sans nul doute.

- T’es engagé en tan que serveur.

- Serveur ?

- Tu passera cuistot quand tu te sera amélioré et pas avant. Tu prend le boulot ou non ?

- Je le prends.

- Très bien.

Je suis allé trouver Sam. Il jonglait entre cuisinier et serveur ce qui l’a toujours épuisé et fais raller.

- Félicitation tu viens d’être promut cuisinier. Tu commences tous de suite.

- C’est vrai ? Super merci patron.

- Ta paie passe de 1.200 à 1.500 mais tes horaires sont les même.

- Merci patron.

Le fais est que en employant ce mome de 16 ans je n’avait plus besoin d’être la pour surveiller le bar. Je me contentai de faire payé ceux qui était intéressé par ma petite distraction. Sinon j’étais plongeais sur une carte de l’état à rechercher mon prochain coup.

Un flic habitué entrât se plaça devant moi et me dis.

- Salut, tien le blé.

- Ok, amusez vous bien.

- Moi oui toi par contre peut être moins.

- Pourquoi ?

- La chaîne des faste food Well Stacked à décidé de contré ton bar avec des pizza pour 1 dollar et des boisons pour 2 dollars.

- C’est pas cher.

- Oui alors tu te doutes biens que toi avec tes menus à 5 dollars et tes boissons à 6 dollars tu ne feras pas long feu.

- Il ne vend ni vins, ni alcool, ni distraction, ni 25 plat différents. Il vend des jus de fruit et 5 sorte de pizza tiède.

- Tu n’auras plus que les habitants de Montgomery qui viendront tous les jours les autres iront au faste food plus proche. Bon je te laisse faut que j’aille me distraire.

Les paroles de ce poulet m’avait fais réfléchir. Je partis tous de suite pour Blueberry en moto. Je suis entré dans le faste food par la porte arrière et je suis entré dans le bureau du patron.

- Qui êtes vous que faites vous ici ?!

Je pointé mon flingue sur sa gueule.

- Ho putin, ok ok tirez pas. Vous voulez quoi ? De l’argent ?

- Oui donne moi toute ta recette.

- Ok ok j’ouvre le coffre.

Il ouvrit le coffre et me tendis un sac plein de blé. Je sortis du bâtiment détaché les deux bidons d’essence qui étaient attaché sur ma bécane. Je les ai porté jusqu'à une porte qui donné sur la cuisine. Je me suis mis sur le pallier de la porte et de la j’ai tiré une balle dans les bidons. Le souffle de la déflagration m’avait projeté au sol. Je me suis relevé et je suis parti en laissant mourir patron, employés et clients. Toute la police se trouvait au post de police ou dans mon bar personne ne me poursuivit.

Je suis retourné à Montgomery, j’y ai fais le plein puis je suis repartis pour Palomino. Le faste food était en pleine reconstruction. Les ouvriers travailler durement pendant que le chef de travail était assis sur une chaise entrain de siroter une canette de bière. Je suis allé le voir. Il me regardé d’air totalement indifférent. Je l’ai poussé par terre, il roula et se releva vite aucun ouvrier ne réagit.

- Putin t’es qui toi ? Tu veux quoi ?

- Tu vas arrêter de construire ce chantier.

- C’est hors de question ou alors tu pays.

- Je ne pays pas des crétin de ton espèce.

J’ai continué de le poussé jusqu'à l’éloigné du chantier de sorte qu’il sois seul.

- Tu arrête ton chantier c’est la dernière fois que je te le dis.

- Pays et j’arrête.

- Comme tu veux.

Je les pris par le coup. Je l’ai lancé par terre puis je l’ai étranglé jusqu'à ce qu’il crève. Je suis ensuite retourné au chantier. Je suis monté dans une machine qui servait à pousser la terre et j’ai foncé sur le chantier. J’ai détruit les fondations, certain ouvrier tombèrent des échafaudages et s’écrasèrent au sol. D’autre me lancèrent leurs outils pour essayer de m’arrêter. Mais je nue aucun mal à réduire en poussières le chantier.

Au loin on entendait une sirène. Je suis sorti du véhicule en vitesse et, tous en évitant la pluie d’outils je suis parti en moto. Roulant le plus vite que possible. J’ai quitté la ville en passant par un petit chemin qui joignait Palomino à Montgomery en passant sous l’intersection de Montgomery. Je rejoignis ensuite Bluebery n passant par Fern Ridge. Une fois la bas j’ai acheté deux bidons que j’ai remplit d’essence et attaché à ma moto. Je suis ensuite allé acheter quelques cartouches.

- Je veux 10 chargeur pour se flingue et un silencieux.

- Un silencieux pour ce flingue ?

- oui.

- Je sais pas si j’en ai, c’est pas très rependu. Je vais voir si j’en ai.

Il partie et revenus quelque temps plus tard. Il posa sur le comptoir une grosse boite de cartouche et plusieurs silencieux.

- pour les cartouche c’est 300 dollars pour le silencieux c’est à vous de voir. J’ai deux modèles compatibles. Celui si est deux fois moins performant que celui là mais le prix suis la même logique.

- Combien pour le meilleur ?

- 500 dollars.

- Ok, tenez voilà vos 800 dollars.

Il commencé à faire nuit je suis rentré chez moi.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeSam 14 Juil - 18:19

10

Ma montre me réveilla il était déjà dix heures. J’ai déchargé mon flingue, je l’ai nettoyé puis je l’ai rechargeais. Je l’ai comme à mon habitude glisser dans ma poche et j’ai aussi pris le silencieux. Je suis partis pour le bar, comme tous si passait bien je suis rentré chez moi. En début d’après midis un officier de police m’appela.

- Je savais que tu irai brûler ces fastes food. J’ai de très beau cliché de toi entrain de partir alors que le faste food brûle. Alors tu vas faire ce que je te dis ou je te met en tôle avant même que tu sorte de chez toi.

- Agent Parkis, se serai vraiment idiot que votre femme sache que vous la trompé avec une pute. Alors à votre place j’éviterai se genre de connerie.

- Tu me fait marrer mon gars, tu n’a aucune preuve.

- Le bar et sous vidéo surveillance agent Parkis, on vous me donné de l’argent avant de monté et durant vos heure de service en plus.

- Ok gamin t’as gagné je dirai rien et tu dira rien.

- Merci agent Parkis.

J’ai immédiatement appelé au bar.

- Sam, l’agent Parkis est il au bar en ce moment ?

- oui patron, il vient de monter, pourquoi il y a un problème ?

- Non, non aucun, continus ton travail.

J’ai détaché les bidons d’essence de la moto pour remplir le réservoir de la mustang. Je suis ensuite parti pour le bar. Je me suis garé à une vingtaine de mètre de la voiture de service de Parkis. Le flic sortis du bar trois quart d’heures plus tard. Il roula jusqu’à un chemin qui passait en amont de ma maison à Fern Ridge. Je ne lavait pas suivit sur ce chemins, j’avais prit un autre chemins plus haut. Lui ne pouvais pas me voir mais moi je pouvais. Il stoppa sa caisse et ne bougea plus. J’ai attendus pendant vingt minutes. Il était toujours là. J’ai pris mon flingue, j’ai installé le silencieux puis je suis descendu discrètement. Je me suis caché derrière les arbres, j’ai ensuite rampé jusqu’à sa portière. J’ai glissé un oeil au niveau de la vitre. Il était endormi. J’ai ouvert la porte, il ne c’est pas réveillé. J’ai détaché son flingue et je lui ai tiré une balle dans la tempe. La cartouche traversa son crâne, brisa la vitre et partis au loin. Le sang gicla sur la vitre conducteur. J’ai pris son cadavre et je l’ai balancé dans la rivière. J’ai ensuite fais brûlé sa caisse avant de la jeté elle aussi dans la rivière.

Je suis retourné au bar pour prendre une bière. Vers six heures un client descendis du premier étage il vins vers moi et me dit d’une voie furieuse.

- Votre pute ma mordu jusqu’au sang !

- Laquelle ?

- Mais quesque j’en sais ?!

- Ses cheveux son de qu’elle couleur ?

- Noir !

- Tiens dons. Je vais régler se petit problème.

Je suis monté, je suis entré dans la pièce ou elle travaillé.

- Je savais que tu viendrais.

- Quesque tu as ? Ton travail te plaie plus ? Il te plaisait pourtant quand je t’ai demandé.

- Tu ne m’a jamais demandé, tu ma obligé. J’en ai mare de faire sa.

- Tu bosses ou tu meurt à toi de voir.

- Alors tue moi !

- Comme tu le sens. Met toi sur les genoux face à la fenêtre.

Elle obéi. Je l’ai frappait d’un gros cous de cross sur la tête elle perdit connaissance. Lorsqu’elle se réveillât elle été attaché au quatre coin du lit. J’ai appelé Alex.

- Alex.

- Ouai, quesque je peux faire pour toi ?

- Tu peux me vendre 16 paires de menottes et une putte.

- Ok viens au hangar demain.

J’ai pris une rousse et les menottes pour 3.800 dollars. J’ai enlevé les corde de ma pute pour les changé contre des menottes je lui ensuite scotché la bouche. J’ai offert au client qui à été mordu deux séance de détente gratuite. Même si elle voulais mourir elle me rapporterai encore un peux de tune.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeSam 14 Juil - 19:55

11

Ma montre me réveilla il était déjà dix heures. Je suis allé à la mairie de Dilllimore et j’ai demandé le droit de construire un casino. La secrétaire ne sachent que me réponde elle appela le maire. Il n’était pas très d’accord avec mon projet.

- Dans deux mois je commencerai les travaux. Le casino sera petit, juste 500 m² dons un quart pour l’administration.

- Vous allez nous amener du bruit, de la pollution et des bandits.

- Mais pensé à la PUB que je vous ferai, tous le monde viendra ici et visitera la ville. Les commerce fleurirons, le gens viendrons habité ici, il y aura des emploies, la ville grandira.

- Et avec qu’elle argent nous grandirons ? Notre caisse est très petite et je refuse de la vider pour un casino.

- Si vous financer mon projet, je vous fais actionnaire, vous aurais des parts. Vous toucherez bien plus que se que vous avez investie. Et même si vous n’investissez pas je m’engage à vous donner 10 % de ma recette chaque moi.

- Vous ne m’aurez pas avec un pot de vins.

- Je ne parlais pas de vous, mais de la caisse de la ville. Tous se que je demande c’est un terrain de 10 hectares.

- A combien s’évaluerai l’investissement de la mairie ?

- Je l’ai fixé à un maximum de 49 % sois un total de 490.000 dollars.

- Au revoir, j’ai était ravie de perdre mon temps avec vous.

- Quesqui se passe ?

- Vous croyez vraiment qu’un village de 800 habitants comme Dillimore peut avoir autant d’argent ?!

- La région vous donnera une subvention.

- Vous me demandez de faire une dette ?!

- Vous habité la quatrième région la plus pauvre de cette état.

- Vous voulez transformer cette région en ville géante comme San Fierro ?! Regardez Los Santos, il ont de l’argent mais esque sa les aide à baisser la pollution.

- Donc vous laissez partir la population sans réagir ?

- Laissez partir la population sans réagir ?! Mais je réagie ! J’ai fais construit des industrie …

- Faire construire une ferme n’empêchera pas les jeunes de partir. Votre village a perdu la moitié de sa population en 20 ans et dans 20 autres années ce village sera désert. Vous ne voulez toujours pas de mon projet ? Gagner 49 % de mes bénéfices ne vous aiderait pas ? Vous pouvez agrandir cette ville sans la transformer en un dépotoir comme Las Venturas.

Il réfléchi un instant puis …

- J’accepte votre projet. Je vais demandais que la régions fournisse 40 % de l’investissement, la commune donnera 9 % et vous fournirait le reste.

- Je vous remercie monsieur le maire, vous avez fais le bon choix. Je vais rédigeais les contrats.

Je suis rentré chez moi et j’ai passé un petit coup de fils.

- Alex.

- Ouai. On dirait que tu peux plus te passer de moi.

- C’est un peux sa. Ecoute j’ai besoin d’un gars qui sache faire des contrats. Mais pas des contrats très claire, tu vois se que je recherche ?

- Et tu as pensé que je pouvais t’aider ?

- Ben ouai.

- J’ai le gars qu’il te faut, mais sa fera 500 dollars.

- Tu vends vraiment tous toi !

- Je suis dans le bizness, si tu a de l’argent tu peux tous avoir même l’amour.

- Ok, je passe chez toi demain pour te filler le fric.

- A demain.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeSam 14 Juil - 21:14

12


Ma montre me réveilla il était déjà dix heures. J’ai rejoins Alex en mustang.

- Putin ta pas encore plus vieux comme tire ?

- Ouai je sais elle est vieille mais écoute moi sa.

J’ai mit le contacte. Le moteur ronronna plus que jamais.

- Je comprends pourquoi tu gardes cette caisse. Si un jour tu veux la tuner tu m’appelle je connais un gars qui pourra tous te faire.

- Tu connais tous toi.

- Il faut tous connaître pour faire du bizness. Bon roule jusqu’au Muholland.

Nous somme allé la bas, puis nous avons gravis la colline. Nous somme passé devant plusieurs palace qui appartenait aux plus grande star du pays. Nous nous sommes finalement garé devant un palace un peu en arrière des autres. On est sortis de la caisse avant d’aller sonnet. Un type entrouvrit la porte.

- Ha c’est toi Alex, entre.

Le type refermât la porte, enlevas le système de sécurité puis ouvrit en grand la porte. On est entré et on à suivit le type jusque dans son bureau.

- Quesque je peux faire pour vous ?

- Je viens pour mon frère de bizness, Eric, il a besoin de ton aide pour faire un contrat très spécial.

- Je veux construire un casino à Dillimore. Mais comme je manque de tune j’ai demandé au maire d’investir dans mon affaire. La régions payera 40 %, Dillimore 9 % et moi 51 % du projet. Je perds donc la moitié de mes bénéfices.

- Et tu veux réduire la par de la régions et de la ville c’est sa ?

- Ouai, mais je veux pas qu’ils le voient tous de suite.

- Ont peux s’arranger pour que chaque années ils te rendent 1 %

- Je tiens pas non plus à attendre 49 ans pour toucher tout mon blé.

- Pas de soucis, alors Dillimore te rendra 2 % par an et la région 3 %.

Je fis vite le calcul dans ma tête. En 4 ans Dilimore ne recevra plus rien et en 13 ans la régions non plus.

- 4 % pour la région …

- Il ne faut pas trop poussé, si il voient les petite ligne c’est foutus. Je peux pas faire mieu.

- Ok. Alex ma dis que vous êtes avocat. Alors je me demande pourquoi un avocat qui gagne biens sa vie comme vous ferai des contrat pas clair ?

- Parsqu’il est impossible d’êtres condamné pour sa. Si le gars signe c’est qu’il est d’accord. Je veux 10.000 dollars cash.

- Je n’ai plus assez de fric pour vous.

- J’ai du matériel pour tons casino. C’est 6.000 dollars pour une machine, 11.000 pour les tables de jeu et je …

- Alex, je me suis renseigné, une machine à sous vos 5.000 dollars et une table 10.000 dollars alors je n’achèterais pas chez toi.

- Ok, t’es un amis je te baisse le prix à 5 et 10 milles balles.

- Tu abaisses tes prix à 4 et 9 milles dollars et on est d’accord. Sinon je vais voir une autre entreprise.

- T’es un bon pote alors j’accepte tes prix. Je te fais sa à 4 et 9 milles dollars.

- Hé biens voilà, je dois avoir 10.000 dollars pour vous maintenant.

- Je mit met tous de suite.

Il me donnât les contrats et moi une liasse d’argent. J’ai ensuite ramené Alex chez lui. Il promit de me livrer les machines dès que le casino serait fini. Je suis ensuite rentré à Montgomery, j’ai fais le plein, j’ai prit quatre bidons d’essence puis je suis allé au bar. J’ai demandé au nouveau de me faire une pizza, elle était bonne mais sans plus. Je suis ensuite parti pour une banque à Los Santos. J’ai prit un prêt de 600.000 dollars puis je suis rentré me coucher.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeDim 15 Juil - 23:36

13

Ma montre me réveilla il était déjà dix heures. J’ai roulé jusqu'à Dillimore puis je suis allé voir le maire. Il commença à lire attentivement le contrat mais son attention diminua peut à peut. Il finis par signé sans se rendre conte qu’il c’était fais avoir. Je suis ensuite allé voir le vieux. Il était entrain d’envoyer ses camions.

- Tiens voilà le gamin, sa faisait longtemps.

- Et oui. J’ai besoin de toi. Cette foi ci plus question de construire discrètement une cave. La se sera un casino tous se qui a de plus légal.

- Combien de fois je devrais te le répété gamin ? Je vend des pièce de camion, je fais pas dans la construction.

- Te fous pas de moi, chaque fois tu veux m’avoir et chaque fois tu le pays cher. Alors un conseil accepte tous de suite avant d’y perdre aux changes. Tu veux pas de mon blé ?

- Ok gamin, combien je serais payé ?

- 410.000 dollars.

- Et ton casino il fera qu’elle taille ?

- 500 m² plus une cave insonorisé et un étage.

- Alors 410.000 dollars ne suffirons pas. Et n’essaye pas de baisser le prix. Pour cette somme je tournerai à perte.

- Je sais très bien. Je te donnerai 410.000 dollars, Dillimore 90.000 dollars et la région 400.000 dollars. Se qui te fera un total de 900.000 balles.

- Tu sais gamin, je suis ravie d’avoir fais a connaissance, c’est toujours un plaisir de faire des affaire avec toi. Je commence dès que j’aurai la tune.

- J’ai dis « Tous se qui à de plus légal. », dans le monde légal le travail se paye à la fin.

- Et si tu ne me donnes pas mon fric ?

- Dillimore et la région te filerons 490.000 dollars sois un peu plus de la moitié.

- Je te fais confiance gamin, mais n’essaye pas de m’avoir. Je viens justement d’acquérir une entreprise de construction. Quand je commence ?

- Le plus tôt possible. Il faut d’abord aménager le terrain, enlevé des arbustes égalisés le sol.

- Il va me falloir un peux de temps pour déplacé toute les machine. Je commencerai au plus tôt dans une semaine.

- Pas de soucis.

Je suis rentré à Montgomery. J’ai distribué les salaires puis j’ai fais le compte de tous se que j’avais économisé.

Un mois plus tard …

Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai prit ma mustang j’ai roulé jusqu'à Montgomery. J’ai distribué les salaires et je suis allé voir quelques bons clients. J’ai appelé Alex pour lui demander l’adresse de son pote le « tunneur ». Je suis donc allé à Los Santos dans le quartier du Temple. Je suis rentré dans le garage puis j’ai attendus. Un types et venus vers moi. Il à d’abord maté ma caisse avant de me regardé.

- Elle est vieille et dans un état moyen mais elle à du potentiel. Je suis Max, quesque je peux faire pour toi ?

- C’est Alex qui ma donné ton adresse, il parait que tu es doué.

- Je suis pas aussi doué que le gens le dise, mais je me débrouille.

- Comme tu peux le voir cette mustang est assez baisé. Tu nettoie le moteur, il tourne biens mais il est encrassé, tu change le réservoir, il y à pas mal de dépôt dans l’actuelle. Tu installes deux bouteilles de nitro. Tu fais la vidange. Tu installes un kit de carrosserie et des potières lamborginie. Tu installes deux doubles pots d’échappements, un aileron et une petite prise d’air dur le capot. Tu changes les rétroviseurs. Tu me mets de bon pneu, des jantes en chromes et des suspensions hydrauliques. Tu mets des néons blancs sous la caisse et sur les jantes avec des boutons pour les allumer manuellement. Tu m’installes des phares au xénon de 8.000. Tu mets un toit ouvrant, la clim, un lecteur MP4, 1000 watts de haut parleur. Tu installe un ordinateur avec un écran tactile et Internet en Wi-Fi dans la boite à gand. Tu me fous des vitres teintées noir qui résistent aux balles. Tu me la repeint en noir avec deux trait blanc large qui parte du par choc avant jusqu’au pare choc arrière en passant par le toit. Ensuite Tu changes l’intérieur. Je veux des sièges confort avec chauffage et ventilation dans les sièges, le tous assortie à la couleur de la caisse. Tu me fais un nouveau tableau de bord, là aussi assorti à la caisse. Tu me mets des jauges numériques et un volant plus classe. Et pour finir je veux une cache sous le coffre.

Durant tous se temps il avait gribouillé sur un calepin tous se que je lui avais dis.

- tu veux sa pour quand ?

- Je te laisse deux mois et demis, je veux que se sois biens fais.

- Il n’y a pas de soucis. Je fini avec cette supra et je mit mets. Je suis content que tu veuille tous d’un coup.

- Pourquoi ?

- Parseque la plus par des gens veulent un kit de carrosserie puis une peinture puis ceci puis cela et à chaque fois je dois démonté et remonté certaine partie de la caisse. Là je vais tous démonté et tous changé une bonne fois pour toute. Par contre j’espère que tu as de la tune mon gars.

- Combien tu veux pour se travail ?

- Attend que je réfléchisse … avec les pièces que je vais devoir importer … il y en a pour 150.000 dollars. Mais je la tune puis une fois que j’ai fini je t’appel et je te dirai mon prix.

- T’as pas peur que je pays pas ?

- Je garderai la caisse.

- Et tu auras perdu 150.000 balles.

- Je peux très facilement la revendre à certaines personnes. J’y perdrai rien.

- Ok tu me phone dès qu’elle est prête.

- Je t’offre le plein et le nettoyage.

- Merci.

Je suis ensuite rentré en taxi jusqu'à Montgomery. J’ai reçu un appel de Slach.

- Yo mec c’est Slach.

- Ouai.

- C’est bon, le shit est prêt. On peux commencé la commercialisation.

- Ok c’est cool.

- Par contre ont a vus trop grand mec. On pourra pas tous vendre dans ton bar. On en a trop.

- Merde.

- T’en fais pas j’ai un plan. J’ai appelé des potes, ils veulent biens vendre notre surplus pour quelques billets. Comme sa ont se ferra un max de tune.

- Combien de billets ils veulent tes potes ?

- Deux cents dollars par mois.

- Pas plus ?

- Non, c’est des cons.

- Alors sa marche qu’ils vendent note surplus. C’est maintenant que les vraies affaires commencent.

[J’ai joué à Need For Speed Underground 2, j’ai vus tous les Fast And Furious et j’aime regardé Pimp My Ryde ^^]
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeLun 16 Juil - 14:52

14

Mon réveil sonna il était dix heures. Durant toute cette journée je n’ai que joué au poker. J’y ai gagné 1000 dollars. Le soir à 20 h je me trouvé à Dillimore pour l’inauguration de mon casino. Le bâtiment était là, dressé fièrement. J’avais engagé 118 personne pour assurer l’entretien, le comptage des recettes, et le plaisir des clients. Il fallait que cette affaire reussice sinon je me retrouverai avec d’immenses dettes. Alex, le vieux était là il prirent chaqu’un leur argent. Le maire coupa le tissu ouvrant ainsi mon casino à la population. Les gens n’attendirent pas le début du discours du maire pour courir vers les bandits manchot et les tables de crabes. Alex et le vieux son entré à leur tour puis je les ai suivis. En seulement quatre heures les bénéfices du casino était immense.

Biens sur tous se passai bien et il a fallu que trois gangstas entre et commence à s’énervé sur leurs gain à la roulette. Je suis allé les voir avec cinq hommes de la sécurité.

- Calmez vous je vous prie.

- Je me calmerai quand j’aurai gagné le double de mon fric.

- Mais laisse ils ont truqué les machines pour que personne puisse gagner.

- Les machines et les tables ne sont pas truquées. Maintenant vous posé vos fesses sur cette chaise ou vous partez de mon casino.

- Ha il est à toi ce casino de merde. Ben je vais te dire qu’il restera pas longtemps entier ton casino. On est là pour parler affaire.

- Pour parler affaire ? Suivez moi, on en parlera mieux dans mon bureau.

Il mon suivit jusque dans la quartier sécurisé. Ont est allé dans mon bureau. Il se sont assis ont posé leurs salles pieds sur mon bureau puis se la sont joué puissant.

- Voilà se qu’ont te propose mon gars, tu nous donne chaque moi 70 % de tes bénéfice est en échange on te laisse la vie sauve. C’est un bon compromis je trouve.

- Vous êtes des quelle gang ?

- On travail pour les Vogos, les plus dangereux des trois familles. Alors t’avise pas de faire le con.

- Vous en ferez quoi de cette tune ?

- Quesque sa peux te faire ? File nous le blé ou ont te descend.

Il pointa un flingue sur moi. Mais de toute évidence il ne savais pas sens servir. Le chargeur n’était pas correctement en place aucune balle ne pouvait sortir de son gun.

- Moi, vous savez je veux juste vous aider. J’ai était de la famille des Ballas mais il m’on laissé tombé. Alors si vous me venger moi sa me va très biens.

- Tu était chez les Ballas ? Quesque tu y faisais ?

- J’étais responsable des armes d’un groupe de trente mecs.

- Alors tu pourra faire plus que nous filler du fric. Tu peux nous donné des infos sur leurs armes.

- Ouai sans problèmes. Ils ont des gun importé, des trucs si puissant que vous avez même pas idée. Tien toi fille moi ton gun je vais vous montrer.

Le gars regarda son bosse, celui si fit un signe de tête, il me tendis son flingue.

- Leurs gun ont pas l’air différent des votre. Mais les leurs peuvent passé un mur de vingt centimètre sans aucun problème.

J’ai retiré puis remis le chargeur en place.

- Y sont des chargeur plus grand, fini les 18 cartouches eux y joue avec 22.

J’ai tiré sur la culasse du flingue.

- Et surtout eux, y sont moins con.

J’ai tiré sur le troisième gars puis sur celui qui m’avait donné son flingue. Le dernier pressé la détente de son gun comme un forcené, sans comprendre qu’il l’avait mal rechargé.

- On marché tu peut te le foutre dans le fions du con. Si tu crois que je vais te donné 70 % de mes bénéfs c’est que t’es un gland. Et moi j’aime pas les glands comme toi.

Son corps est tombé par terre, il y avait un trou entre ces deux yeux. J’ai rechargé mon révolver avant d’appeler la police.

- Il m’ont braqué de leurs flingues alors j’ai joué de leurs stupidités pour me défendre.

- Pas de soucis Monsieur, on va rendre leurs corps à leurs familles. C’est un cas de légitime défense.

Je suis rentré chez moi à Fern Ridge. J’ai garé ma bécane, puis je suis allé vers la porte. Une sonnerie de portable a retendis derrière moi. J’ai roulé sur le côté en sortant mon flingue. La sonnerie retentis de nouveau. Il faisait noir ont ne pouvais voir à plus de cinq mètre. J’ai marché accroupis jusque derrière un gros arbre. La sonnerie venait d’an bas. J’ai contourné le bruit pour prendre les mec par derrière. J’étais dix mètre derrière lui. J’ai pointé mon gun. Son corps tomba au sol dans un bruit de feuille froissé. Mais aucune balle n’était sortie de mon flingue. J’ai maté tous autours, personne pas un bruits, rien. J’ai rejoins le corps, j’ai pris le portable qui sonnait encore et j’ai décroché. Une voie Grave me dit.

- Tu as prit la Red County ok. Mais tu auras pas cinq mètre carré de plus à Los Santos. Cette ville est à moi pigé ? Alors amuse toi à prendre les régions les plus pauvre de l’état pendant que moi je dirige les plus riches. Tu à refusé mon marcher, je l’oublierai pas.

Il raccrochât.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeLun 16 Juil - 16:49

15

Mon réveil sonna il était dix heures. J’avais passé ma nuit devant mon PC en jetant de tan à autre un regard sur Xi Piang. La lame qui lui l’avait transpercé le ventre était posée sur ma table de chevé. J’étais entrain de jouer à un jeu on-line totalement débile. J’ai envoyé ma flotte à l’attaque d’un autre joueur et j’attendais le combat. Quelque chose tapa le sol de bois. J’ai prit mon gun et je me suis retourné. Elle tenait la lame ferment entre ses mains. Elle était à ma merci, je pouvais pressé la détente bien avant qu’elle ne me tranche la gorge, mais elle ne semblait pas avoir peur. Elle dit quelque chose dans une langue asiatique, je n’y compris rien. J’ai peut à peut baissé mon flingue. Elle bougea légèrement les pieds et la position de ses mains sur la lame. Je la braqué de nouveau de mon arme. Elle répéta sa phrase en asiatique.

- Tu cale pas que je comprend pas ?

Sa voie s’éleva dans l’air. Elle avait un fort acens asiatique. Mais l’ont pouvait la comprendre sans trop de mal.

- Qui es tu ? Es tu un des dix ? Ou suis-je ? Que me veut tu ?

- Dans l’ordre les réponse sont : Eric, non, chez moi à Fern Ridge, t’aider.

Elle resta un instant sans bouger comme si elle devait préparer sa réponse.

- Comment suis arrivé ici ? Que m’as-tu fais ?

- Je t’ai trouvé plus bas dans la forêt, tu venais de t’effondrer par terre. Je t’ai soigné.

Elle lâchât la lame du main. Elle touchât les bandage que j’avais étalé sur son ventre puis elle repris la lame de ses deux main.

- A tu l’intention de me tuer ?

- pourquoi t’aurais je soigné alors ?

- A tu l’intention de me retenir ici ?

- Si tu veux partir, la porte est ici. Mais je ne pense pas que tu ira loin. Tu as perdu beaucoup de sang.

- Pourquoi m’as-tu soigné ?

- Il y a un mois et demis, j’ai tuer une femme, je n’ai jamais voulu lui faire de mal mais elle c’est débattu. Je vous ai soigné pour soulager ma conscience.

- Pourquoi tiens tu te révolver sur mon visage alors ?

- Tu tien un sabre vers moi, je n’ai aucune intention de te faire du mal mais si tu mi oblige je n’hésiterai pas.

Elle baisse peu à peu sa lame. J’ai abaissé mon gun. Nous nous somme regardé droit dans les yeux pendant plusieurs minutes. Ses yeux se fermèrent, son corps vacilla, elle s’évanouit sur le sol.

Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai me suis assis dans mon canapé sans ouvrir les yeux. Je m’étais résigné à laisser mon lit à ma visiteuse et à dormir sur le canapé. Je sentis un froid sous ma gorge, un trait, froid.

- Allez y, tranche moi la gorge, je le mérite biens.

J’ouvris les yeux. L’asiatique était devant moi, le sabre sur ma gorge. Son visage était impassible. Impossible de vous dire si elle voulez me tuer ou non, toujours est il qu’elle à retiré la lame. Elle était habillée d’un jeans et d’un tee shirt qu’elle avait trouvé dans mon armoire. Ma maison était un peu en bordel. Elle avait foulé partout.

- Qui est vous vraiment ? Pourquoi suis-je toujours vivante ?

- Je vous l’ai dis hier. Je suis Eric, je vous ai soigné et je veux vous aider.

- Arrêté avec votre couverture ! Sa ne prend pas ! Qui êtes vous ?!

- Je viens de vous les dire. Vous êtes du genre têtu. Vous voulez ma carte d’identité peut être ?

- Je l’ai vus, elle semble vraie. Mais cela ne m’explique pas ce qu’un dirigeant de casino fait dans un taudis pareil situé en plein milieu d’une forêt.

- Je vois qu’en plus d’avoir fouiller dans mes affaire et avoir prit mes fringue vous êtes allé dehors et vous avé utilisé mon ordi. Mon casino aura un jours se soir. Et c’est pas un taudis ici. C’est cher moi, est le désordre est de votre faute. Si j’avais les moyen de ma payer un palace je le ferai mais en attendant c’est pratique de pas être vus des queufs.

Du sang apparut sur son tee shirt au niveau du nombril. Elle perdit de nouveau connaissance et s’écroula sur moi.

Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai me suis assis dans mon canapé, j’ai ouvert les yeux. La maison avait été rangée, l’asiatique dormait sur mon lit d’un sommeil paisible. Je me suis penché sur elle. J’ai soulevé son haut puis j’ai changé les bandages. Je suis ensuite descendu en ville pour acheter qu’elles provisions. Quand je suis revenu elle buvé un café, assise devant mon buffet.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeLun 16 Juil - 20:20

16


J’ai posé les victuailles sur le buffet puis j’ai entrepris la cuisine de deux steaks. Mais je n’eu pas le temps de déposer les deux pièces de viande qu’elle arrêta mon geste de sa voie.

- Je ne mangerai rien de se que tu me donnera.

- Tes du genre têtu est conne toi. Si j’avais voulu te buté il y a longtemps que je l’aurais fais, je t’aurais laissé crevé en bas. J’aurais pus te buté d’une balle en plaine gueule, j’aurais pus t’étranglé dans ton sommeil. Es de toute façon je t’oblige pas à bouffé. Alors maintenant tu la fermes et tu attends que c’est prêt.

- Eric Wells, née le 5 Janvier 1992 à l’hôpital de Jefferson à Los Santos. 23 ans. Ton père est mort quand tu avais 10 ans et ton grand père est mort quand tu avais 15 ans. Tu viens d’une classe moyenne pauvre. Tu es venu dans la région est depuis il y à eu de nombreuse disparition non expliqué. Des bourgeois, un coiffeur, deux fastes foods on était braqué. Trois fastes foods ont été détruits. Ont ta offert un faste food est le terrain, la chaîne de faste fodd a quitté le régions. Tu as transformé ton faste food en bar. Un bar très spécial ou les homme peuvent payé pour se vider les couilles. Tu as très réssament commencé à vendre du canabis dans ton bar et par l’intermédiaire de delear. Tu as ouvert un casino il y a trois jours. Tu à harnaché la ville de Dillimore et le fond de la régions en rajoutant des petits ligne aux contrats. Tu as une moto crosse que tu as volé tout comme ta camionnette.

Elle avait parlé d’une voie lente mais mesurée. Elle s’attendait à une réaction de ma pars. Je me suis tourné vers elle.

- Tiens, mange moi sa. Il faut que tu retrouves des forces.

Elle me regarda intensément sans siller. Elle finit par manger un bout de la viande. Je déposé le deuxième steak dans mon assiette avant de m’assoire. On a mangé pendant un temps avant qu’elle ne recommence à me parler.

- Tous se que j’ai dis sur toi es vraie n’es pas ?

- Pourquoi me demande tu sa ? Tu semblais si sur de toi.

- Je sais que c’est vrai. Mais je veux savoir si tu reconnais tous se que tu as fait.

- Tu as oublie de dire que j’ai volé des camion pour les revendre ainsi que leurs marchandise. J’ai possède aussi une mustang que j’ai récupérai en marchandant le prix d’un camion. Mais pour l’instant cette caisse se fait bichonne par un pro de la mécano. J’ai fais un prêt de 600.000 dollars pour payer les casino. Et J’ai reçu la visite de gangstas de la famille Vogos.

- Cela veux t’il dire que tous se que j’ai dis est vrai ?

- Oui c’est frais j’ai fais tous sa.

- N’a tu pas peur que je te dénonce maintenant ?

- Tu n’as pas d’enregistrement, se sera ta parole contre la mienne. Les flics m’adorent, grâce à moi il peuvent tromper leurs femmes et joué au casino facilement. Et j’ai assez de tune pour payer la caution.

- Tu es peut être un peut trop sur de toi. Mais sinon tu as raison. On ne croira jamais une asiatique dans une région ou le racisme fait partis de la moitié de la population.

- Tu as de bons informateurs. Rapide, discret et efficace.

- Je n’ai pas d’informateur. J’ai juste utilisé ton PC. De la je suis aller sur les fichier de l’état.

- Maintenant que tu sais qui je suis et que tu semble me faire confiance, du moins assez pour manger se que je te donne. Tu peux peut être me dire qui tu est, comment tu est arrivé ici.

- Que sais tu déjà de moi ?

- Je sais très peu de chose sur toi. Vous êtes Xi Piang, née le 14 octobre 1994, tu as donc 21 ans.

- Tu ne sais pas grand-chose sur moi. Je suis Xi Piang, l’une des dix du clan des KungShi.

- Les KungShi ? Le gang qui possède tous San Fierro et Las Ventura ?

- Oui.

- C’est quoi cette histoire de 10 ?

- Le clan KungShi est le plus vieux de cet état. Dix familles, chinoises font partis de ce clan. Mais une seule personne peut diriger le clan. Celui qui dirige doit prouver sa force. L’actuelle dirigeant du clan va bientôt mourir. Pour savoir qui sera le nouveau représentant chaque famille a désigné un représentent. Les représentant de chaque famille doit s’affronter dans des combats à mort. Tous les moyens sont autorisés pour tuer l’adversaire. Le représentant qui survivra dirigera comme il l’entend le clan.

- Et t’es une des dix je suppose.

- Oui je représente la famille Piang. Ma famille est la moins influente des dix. Alors on ne nous prend pas beaucoup au sérieux. Il m’a dis, « les plus faible d’abord ».

- Qui t’as dis sa ?

- L’un des dix. Ma mémoire est confuse, je ne sais plus qui, je …

Elle tombât de la chaise.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeMer 18 Juil - 15:36

17

Mon réveil sonna il était dix heures. Je suis parti pour le bar. J’ai demandé au nouveau de ma faire un petit déjeuné. Il me servi une assiette, sur laquelle était disposé des crêpes dans une forme de petite pyramide. Les premières étaient au jambon, aux saucisses, avec de la salade, des tomates. Les dernières été avec de la confiture de framboise, du chocolat ou avec du chocolat et de la chantilly. Le tous fut servit chaud. J’ai tranquillement fini mon plat avant d’aller le voir.

- Tu as attendu pas mal de temps, et sa a porté ces fruit. Tu es promut cuistot serveur.

- Mais vous m’aviez dis que je serai cuistot.

- Oui mais on à pas besoin d’un cuistot à plein temps en plus. Les serveuses serons dorénavant payé 1.300 dollars, toi tu sera payé 1.500 dollars, les cuistots 1.600 et le gérant 1.700 dollars. Profitez en biens.

Je suis sorti sous les acclamations de mes employés. Je suis ensuite allé au casino. Même au milieu de la matinée le casino était plein de gens qui venaient tenté leurs chances. Ils mettaient leurs tune dans des machines ou le donné à des croupiers. Les gents se sont jamais rendu compte que même si mes bandits manchots rendaient 60 % de se qu’ils contenaient, ils perdaient leurs fric pour rien. J’ai pris une liasse de billet puis je suis reparti. J’ai fais le plein puis je suis rentré chez moi. J’ai ouvert une carte de l’état de San Andréas et j’ai réfléchi à mon prochain investissement. Comme je n’avais rien trouvé j’ai allumé mon PC. Je suis allé sur un site de petite annonce. L’affaire était la devant moi. L’affaire était vendue aux enchères pour tous juste 1 dollars. J’ai surenchéris à 3 dollars. Une minute plus tard quelqu’un surenchérie pour 5 dollars. Je suis pas du genre patient alors je suis monté à 100 dollars. Tous juste une heure plus tard le garage était à moi. Je suis tous de suite parti pour Garcia à San Fierro.

Je suis arrivé tard dans la nuit. J’ai ouvert la porte. Un mec dormait la sur l’arrière banquette d’une caisse toute défoncé. Je l’ai prit par le col et je l’ai sortis de la caisse.

- Aller dégage, le proprio n’aime pas les SDFs.

Il se releva est me dit.

- Du calme mec, pour l’instant c’est moi le proprio. File moi 100 billets et le garage est à toi.

Je lui ai donné un billet, il ma donné le titre de propriété puis il est partis. J’étais mort alors je suis allé me coucher sur une table qui traînait là.

Tôt dans la matinée un mec tambourina à ma porte en hurlant.

- C’est grande jours, prend tes affaires et casse toi de là !

J’ai ouvert la porte. Le mec me fit de gros yeux puis dit.

- Tu t’es fais avoir mon gars. Ce garage va être détruit pour pouvoir construire un building pour l’entreprise Sacasse.

- Tu vas rentrer chez toi avant que je m’énerve. Personne ne démolira ma propriété c’est clair ?

- Tu fais comme tu veux. Mais quand tu verras un gros boulet qui explosera ton mur ne t’étonne pas.

J’ai attendus qu’il parte avant d’aller prendre mon flingue. Je suis ensuite aller sur le chantier qui était derrière mon garage. Je suis discrètement monté dans un bulldozer. J’ai levé le boulet et je l’ai laissé s’écrouler sur un pré fabriqué. J’ai recommencé mon action jusqu’à ce qu’il ne reste plus aucun véhicule, plus aucun pré fabriqué, en état de fonctionner. J’ai détruit tous leurs matériels devant leurs yeux. Il courait dans tous les sens pour éviter le boulet qui passait au ras du sol. Les ouvrier se son ensuite enfuit. J’ai quitté la machine et je me suis dirigé vers le garage. C’est la que le chef de chantier et sorti des chiote chimique, l’un des rares truc que j’avais épargné. Il vu les décombre du chantier puis son regard se posa sur moi. Il rentra et s’enferma dans le chiote et hurlant.

- J’ai rien vus, J’ai rien vus, J’ai rien vus …

Je suis monté dans la deuxième grue. Elle se terminé par un aimant. Je nais donc eu aucun mal pour soulever les chiote en fer. Je l’ai prit et je l’ai relâché dans un trou. Je suis ensuite monté dans un camion à ciment et j’ai fais coulé tous le liquide dans le trou. Le mec était mort, enterré vivant.

Je suis retourné au garage. J’ai regardé le potentiel du bâtiment et du terrain. Au milieu de l’après midis un gars et venus frappé à ma porte. J’ai ouvert, le mec était blanc de peur.

- Vous … vous voulez vraiment pas partir ? Nous … nous laisser détruire le bâtiment non ? Je vous offrirai des parts dans mon entreprise.

- Bon écoute mon gars, tes petits revenus ne m’intéresse pas. Je vise plus gros, beaucoup plus gros. Alors je vais te faire une fleur, donne moi ton terrain, tu m’évitera d’aller le chercher.

- Mais, mais, je dispose de tous se terrain vague. Je voulais en faire le siège de mon entreprise j’ai investie ton mon argent ici. Si se n’est pas construit se sera la faillite. Et mes 300 employés seront au chômage.

- Tu es sur que tu veux pas me le donné ? Je risque de vouloir le prendre d’une façon beaucoup moins agréable.

- Ok, ok … tenez, voilà le titre de propriété, maintenant oubliez moi, je vous ai jamais vus.

Il partis en courant aussi vite qu’il pouvait. Je suis resté dans le coin pendant une semaine puis lorsque je fus sur que personne n’allait construire sur mon terrain je suis parti.

Un mois plus tard …



Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai distribué les payes au bar et au casino. Avant d’aller dans mon bureau (au casino) pour faire les comptes. Mon près avait été remboursé. Mais mon compte été vide. Je ne me faisais pas de soucis, les affaires tournaient à plein régime. Le mois prochain mon compte sera crédité de 12.000 dollars. Cette somme rondelette ne ma plaisais pas, c’est bien trop peu. Mais je n’avais pas les moyens d’investir. J’étais condamné à attendre.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeJeu 19 Juil - 12:29

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Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai roulé jusque dans le quartier de El Corona à Los Santos. J’ai traversé les railles, et je me suis dissimulé derrière un poteau. Le train est arrivé, je suis monté sur le toit grâce à l’échelle qui été à la fin du train. Le train à démarré, j’ai perdu l’équilibre mais j’ai réussi à m’accrochait. J’ai attendus que le train quitte la ville pour agir. Je suis entré dans le train par une bouche d’aération dans le toit. Tout le wagon était désert. Il était remplit de caisses de bois. J’ai ouvert une des caisses, elle était pleine a ras bores de billet de 200 dollars. J’ai remplis une trentaine de sac poubelle, mon sac et mes poches avec la tune. Mais il resté encore deux caisses pleines. Nous étions à Northstar Rock. Je suis remonté sur le toit, de la j’ai jeté tous les sac et les deux caisses avant de moi-même sauter au sol. Mon corps c’est écrasé par terre, avant de faire plusieurs tonneaux. Je suis resté quelques temps sur les railles, à demi conscient. Un mec se penchât sur moi, son visage était masqué et il me pointé de son arme.

- Tu ma doubler, mais je vais arranger tous sa.

Il retirât sa cagoule.

- Alex ? Mais quesque tu fais la ?

- Pour le bizness comme toujours. Aller viens, faut pas traîner ici trop longtemps.

Ont à ramasser les sacs, ont les a placé dans sa voiture avant de partir. Ont est allé récupérer ma moto puis ont est allé chez lui. Son visage qui était habituellement si joviale devint plus sérieux.

- Comme je te l’ai dis avait, tu ma doubler et j’ai pas l’intention de me laisser faire.

Il me pointa de son gun.

- Hé Alex, du calme, ont est pote de bizness. J’ai besoin de cette tune. Je réinvestirai presque tous chez toi alors …

- Alors quoi ? Attend que tu réinvestisses ? Qui me dis que tu te barrera pas ?

- Je te le promets, je prépare un très gros coup là.

- Quesque tu as en tête ?

- Je peux pas te le dire pour l’instant, mais j’ai un grand terrain à San Fiero et je vais l’aménager.

- Ouai c’est sa. Tu auras pas fini les travaux que tu auras déjà les KungShi sur le dos. Et eux c’est pas de la rigolade. Il te braque pas avec un 9 mm non ils utilise des fusils d’assauts. Il te feront pas brûlé mais exploser !

- Toi ? Tu fuit devant tous le bizness ? Tous les bizness de San Fiero sa ne t’intéresse pas ?

- Le clan KungShi prend 75 % des bénéfice, alors y n’y à pas de bizness.

- Moi, je vais marchander avec eux, peut être que je pourrais mettre la main sur San Fiero.

- Mais t’es complètement con toi ?! Ta prit la grosse tête en prenant la Red Country. Tu prendra pas la ville avec un bar et un casino, il te faut des hommes.

- Ouai, et les hommes se sera toi qui nous les fournira.

Il baissa son flingue.

- Moi ? Nous ? C’est quoi ce plan ?

- Seul, je n’y arriverais pas c’est sur, mais si ont travail tous ensemble.

- Assis toi et explique moi ton plan.

On c’est assis sur le canapé. L’ambiance été sérieuse mais amical.

- On va mettre la main sur les quartiers Sud de San Fierro. Je connais un gars qui pourra construire pour nous pour moins cher. Slash pourra faire son boulot et toi tu fourniras les hommes et le matos. Au debut on fera croire qu’il s’agit d’un siège d’entreprise pour pas attirer l’attention. Ensuite on fera venir le matos le plus discrètement que possible. Quand le plus gros du matos sera en place les KungShi ne viendrons pas comme sa. Il réfléchira à deux fois avant de venir. Ont les prendra leurs part, les affaiblira puis ont leurs prendra toute la ville. Alors, tu marches avec moi ?

- J’ai besoin de temps pour réfléchir. Rentre chez toi avec la tune, je te rappelle.

J’ai monté ma bécane sur le toit avant de rentré chez moi avec sa caisse.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeLun 23 Juil - 0:08

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Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai ouvert les sacs et j’ai commencé à compter la tune. Il faisait nuit noir quand j’ai fini de compté, mais sa m’avait fait plaisir de compté 3 millions de dollars. Alex m’appela à deux heures du matin.

- Bon écoute mec, la c’est fini les petites combines. Tu prenais moins de risque en sautant du train que en voulant construire sur le terrain des KungShi. C’est mec la ils plaisante vraiment pas et tu aura besoin de plusieurs milliards pour survivre. Alors commence à stocker l’argent car tu en aura besoin moi … je t’aiderai.

- Je peux compté sur toi à 100 % ? Ou tu veux juste me fournir le matériel ?

- Je veux 50 % des bénéfices.

J’ai poufé de rire avant de répondre.

- Je savais que tu étais un fous du bizness mais a se point je ne le pensait pas. Ok alors on a déjà trois millions de dollars grâce au cas du train. Sa pourra payé le bâtiment et quelques broutilles.

- Quoi ?!! Trois millions de dollars pour construire le bâtiment ? Mais tu veux construire un immeuble ou quoi ?!!

- Se sera un immeuble ou il y aura tous les trafics et le crime réuni dans un seul étage.

- Et tu crois que les flics le verront pas ?!

- Trois peau de vin et on en parlerons plus en plus ils seront d’excellent clients.

- Putin sa promet. Je vais faire mes compte si il nous faudra trois millions pour le bâtiment je n’ose pas imaginer se qu’il nous faudra pour le reste.

- C’est un très gros investissement mais sa en vaux la penne crois moi. Maintenant tu as un peux peur. Mais nous serons les maîtres de San Fiero. Les plus belles femmes se prosternerons devant nous. Nous aurons assez de tune pour acheter tout l’état.

- Espérons surtout que nous auront assez de tune pour rester en vie. Je vais faire mes comptes et faire de trois bizness pour notre affaire. A plus mec, maintenant entre nous c’est à la vie à la mort.

- Se sera pour la vie tan fais fait pas. Aller à plus.

Je suis allé en motos jusqu'à Dilimore et j’ai volé le garage qui quelque mois plus tôt m’avais prit beaucoup trop de tune juste pour peindre ma camionnette. J’ai prit soin d’éclater la cervelle du gars pour que plus jamais il me fasse chier. Je suis ensuite allé jusque dans le Mulholland.

Le Mulholland était le quartier de Los Santos ou tous les riches, les bourges, les haut fonctionnaire et les plus grandes stars c’était installé. Le quartier surplombé la ville du haut d’une colline. Je me suis arrêté à une centaine de mètre du quartier, j’ai dissimulé la caisse derrière quelques plantes. J’ai mit une cagoule, j’ai posé le silencieux et je suis parti. J’ai cambriolé chaque maison, les une après les autre, toutes me donné leurs fortunes. La plus part était vide, les propriétaires était partis dans une autre maison. J’ai cambriolé cinq maisons, puis voyant que la voiture était pleine je me suis résigné à rentré. J’ai vite déposé la marchandise puis j’y suis retourné. J’ai fais encore deux autre trajet comme celui-ci.

Je me suis stationné dans l’entré privé de la maison de Matt Dogs. Ce mec était un grand rappeur, est il avait la plus grande maison de toute la ville. J’ai vérifié que mes six cartouches était là, que le silencieux était bien posé est que ma cagoule protégé bien mon visage. Je suis ensuite entré par une fenêtre qui était grande ouverte. J’étais dans une petite pièce d’entrer. Un garde était adossé contre le mur. Son ronflement raisonné dans la pièce est dans le couloir. Je me suis glissé derrière lui et je l’ai tué d’une balle dans la tête. J’ai rattrapé son corps pour qu’il ne fasse pas de bruit en tombant. Son cadavre était là sur le carrelage. J’ai prit son gilet par balle et son flingue. C’était un gros calibre, un désert eagle pour êtres précis. J’ai poursuivit mon chemin dans le couloir jusque dans une pièce. Il y avait d’immense colonne de marbre de plusieurs mètres de haut. L’eau était limpide et une petite fumé chaude s’en dégagé. Un garde était occupé à nager dedans, il avait laissé son matériel sur le bort. Je me suis glissé contre une colonne, j’ai attendu que le garde nage jusqu’a moi et je l’ai abattue. Je me suis penché sur ses affaires. J’ai prit une paire de gans et j’ai mit de coté son flingue et son gilet par balle. J’ai ensuite continué une pièce qui servait de vestiaire. Jusque ici il n’y avait rien de précieux qui puisse être volé. J’ai poursuivit dans un couloir, suis entré dans une pièce. Un immense gymnase personnel, plus de cinquante machines différente pour un seul homme. Je sui sortis et j’ai continue dans le couloir. J’ai débouché dans un salon. Il y avait deux gardes dans la pièce. L’un deux était entrain de se bourré la gueule au bar et l’autre joué à la consol. Je me suis glissé derrière le bar puis j’ai descendu l’ivrogne. Je me suis ensuite glissé derrière le canapé et j’ai buté le garde. J’ai mit de coté leurs armes et leurs gilets. J’ai posé la console et la grande télé plasma avec les gun. J’ai poursuivit mon chemin dans un autre couloir. (Quand je vous disais que la maison était immense.) Je suis entré dans une chambre, dans un studio d’enregistrement, dans d’autres chambres, dans une immense cuisine. A chaque fois j’ai mit de coté se que j’allais emmené. J’ai aussi éliminé tous les gardes qui ont croisé mon chemin. Je suis ressortis par la même fenêtre en emmenant avec moi tous se que j’avais volé. Durant un espace de temps, j’ai crus que la voiture ne pourrait jamais supporter un tel poids mais elle démarra sans trop de peine. Je me suis ensuite couché.

Mon réveil sonna il était dix heures. J’ai appelé Alex.

- Yo Alex, laisse ta maison ouverte, j’ai du matos a te ramener. Tu le vendra pour notre petite affaire.

- Ok pas de soucis.

J’ai déposé les télé, les chaînes Hi-Fi, les bijoux, les console de jeux, les objet de valeur chez lui puis je suis rentré faire le compte de se que j’avais déjà économisé.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeDim 2 Sep - 12:49

Note de l'auteur : Apres presque trois se maine d'abence je reviens. Certain on peut être attendu la suite de mon histoire avec impatience , d'autre sens foute royale. Quoi qui l'en sois, même si sa n'intéresse personne voilà enfin la suite !

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Trois mois plus tard, une publicité circule dans toutes les boites aux lettres de l’état de San Andréas. Les autorités ont était prévenus par le responsable de l’établissement que tous se qui y est écris est à prendre aux seconds degrés et que tous n’est que pur attractions.


A San Fiero, en face de la gare la ou n’y avait qu’un terrain vague s’élève maintenant un immeuble de 20 étages. D’un genre moderne, cachant bon nombre de crimes. Je vais vous le décrire étage par étage. Vous pourrez ainsi juger vous-même des risques qui ont était prit afin de vous distraient.

Commençons cette visite par le deuxième sous sol. (-2) Là se trouve un magnifique garage ou vous pourrez apporter toutes les modifications à votre voiture que votre argent le permet. Le garage tunning vous permet tous. Vous voulez simplement peindre des flammes sur votre voiture ou l’allonger de plusieurs mètres ? Venez chez nous tous est possible avec l’argent !
Au premier sous sol (-1) un immense parking surveillé vous permet de stationner tous prêt de chez nous en toute sécurité pour votre voiture de sport. Pour seulement 50 dollars par jours votre voiture est surveillé et vous sera remit nettoyé !
Au ré de chausser vous mangerez les met les plus raffiné cuisiné par les plus grands cuistots de tous San Andreas. De charmante et souriante serveuse vous apporterons vos plats. Mais si vous voulez manger vite et bien pour mieux profiter de nos services il vous est possible de manger un morceau au bar ou vous pourrez trouver de l’alcool au noir !
Dans les deux premiers étages (1er et 2ème étages) se trouve notre casino. Que vous soyer doué pour les bandits manchots, le crabs, la roulette ou le poker, que vous soyer un grand ou un petit joueur, vous trouverai votre place chez nous. Tous le monde fera fortune en venant jouer chez nous !
Votre travail vous épuise et votre femme vous fait des scènes tous les jours ? Chez nous vous pourrez vous détendre en toute tranquillité. Le troisième étage (3ème étage) est la pour vous, femme ou homme en recherche de calme. Là nos streap-teaseuse et streap-teaseur professionnel feront tous pour vous plaire.
Mais bien sur il vous faudra plusieurs jours pour profiter de tous nos service c’est pourquoi vous trouverai assez de chambre d’hôtel chez nous pour venir en famille. (4ème et 5ème étage) Les chambres sont spacieuses et confortable. Les prix varient de 100 à 1500 dollars la nuit (repas non compris)
Il y aura toujours quelqu’un à qui vous pourrez exposer vos réclamations ou vos remarques. Car la moitié du personnelle dort directement chez nous. (6ème et 7ème étages)
Le trouvez le streap tease bien mais vous en voulez plus ? Pour vous et vous uniquement cher client. Vous pourrez utiliser l’une de nos 103 putes. Toutes savent parler le français et sauront exécuter le moindre de vos désir pour quelques billés. (De 300 à 900 dollars) Blonds ? Brunes ? Rousse ? Sado ? Maso ? Vous pourrez réaliser le moindre de vos fantasmes. (8ème et 9ème étages)
Vous venez de gagnez le gros lot au casino ? Montez au dixième étage. (10ème étage) Nous cultivons pour vous le meilleur cannabis de l’état. Pour seulement 500 billets vous pourrais prendre une cuite en compagnie de toutes les stars qui comme vous fume le cannabis.
Vous ne vous sentais pas en sécurité ? Nous vendons aussi cela ! Loué l’un de nos garde du corps, il vous protégera mieux que qui conque dans notre établissement. Nos gardes sont armés avec les armes que nous fabriquons nous même. (Au noir bien entendu !) Les classe de garde du corps vont d’un homme équiper d’un 9mm à un homme sur entrainé équipé d’un gilet par balle d’un fusil d’assaut et d’une grenade à fragmentation ! Les accidents arrivent si vite ici ne passait pas à coté d’une telle occasion. (11ème étage)
Nous fabriquons même les voitures qui nous servent pour nos trafics ! Du simple tracteur à la jeep d’assaut, il y en a pour tous les budgets. (12ème étages)
Vous voulez nous acheter une voiture mais vous avez peur de vous faire chopper par les flics car vous n’avez pas de permis ? Nous fabriquons pour vous de faux permis de conduire ainsi que de faux papiers. Changer d’identité pour seulement 1500 dollars ! (13ème étage)
Gagnez autant d’argent que vous voudrai au casino sa na pas d’importance pour nous car nous fabriquons nous même notre argent. Oui nous possédons une imprimerie tous se qu’il y a de plus légal. (Mon cul ouai) (14ème étage)
Amis voleurs, gangster et autre truands. Nous vous disons que notre chambre forte se trouve au douzième étage. (15ème étage) Caméra, mitrailleuses à détecteur de mouvement, de bruits, mines, murs blindé de 1.50 m d’épaisseur, laser, alarme sans bruit … etc. Si vous réussissez votre récompense sera grande si vous échoué vous serez tué.
Remarque : Nous ne payerons pas les frais d’enterrement.
Etalé sur quatre étages (16ème, 17ème, 18ème et 19ème) les appartements des propriétaires. On peut vraiment dire qu’il même la belle vie grâce à votre argent.
Enfin sur le toit (20ème étage) se trouve un petit héliport sur lequel neuf hélicoptères peuvent stationner. (Enfin sept parseque les proprios en on deux) Veiller réserver votre place 6 mois à l’avance si vous désirer profiter de se service. Il vous coutera 1000 dollars par jours de stationnement mais pour venir chez nous se sera un plaisir de payer !
Remarque : Sur le toit se trouve également neuf batteries de DCA prêt à faire feu sur tous les hélicoptères venu nous voler.
Cela semble bien chez vous, mais y a-t-il des risques ? Qu’en est-il de la sécurité et de la discrétion ?
L’intégralité de l’immeuble est protégé par un système de sécurité de dernière génération. Il y a des caméras partout, nos homme sont armés est parfaitement entrainé à tirer. Par ailleurs nous vous promettons une totale discrétion. Personne ne sera quoi que se sois si se n’est que vous êtes devenu riche en jouant chez nous.
Alors n’hésitez plus ! Venez chez nous ! Lâchez-vous ! Gagnez de l’argent, détendais vous !
Bien venu Au Royaume Du Crime


Je me trouvais en haut du balcon surplombant le casino. Tous le gratin de la ville été venu. Monsieur le maire est sa femme, divers grande chanteur et chanteur, quelques comédiens, des acteurs … Tous le monde est attirés par l’envie de savoir ce qui se passe derrière nos murs.

Alex est moi nous nous somme endetté jusqu’aux coups pour cette immeuble. Nous avons investi plus que prévus. Se fut long de trouver le matériel et le personnelle mais nous voici enfin prêt pour l’ouverture.

Alex avait fini sont petit discourt, j’ai encouragé tous le monde à devenir riche puis j’ai lancé l’ouverture. Se fut la rué, partout les gens courée pour trouver une machine ou une table a laquelle perdre leurs argents. Rien n’était truqué, et si certain joueur gagnais un millions, dans l’ensemble tous perdez de la tune. C’était pitoyable de les voir. Quelqu’un gagne une petit chapote et tous de suite après les autre dépenser deux fois plus pensant que sa pouvais aussi leur arriver.

Nous avons fais 1,6 millions de bénéfice l’hors de la soirée d’ouverture. Se qui ne remboursais en rien nos 34 millions de dette. Mais a cette vitesse sa ira vite.

Vers 4 heure du matin, pensant que l’immeuble serai vide une cinquantaine de membres de KungShi sont venu, arme sous le bras. Nous les avons rencontrés dans le 15ème étage. Ils avançaient en meute. Leurs regards d’asiatique perçaient les esprits les plus solides. Un gars particulièrement petit prit la parole.

- Ok je vais aller droit au but mon petit. On veut 85 % des bénéfices de chaque jour au nom du clan des KungShi.

- Tien on se demander quand esque vous alliez venir les gars.

Alex claqua des doigts et aussitôt une cinquantaine de CRS sortir de leurs planque.

- Tentative de raquette, port illégale d’arme plus tous se qu’on a déjà contre toi. Tu va prend la penne capital Taïshi. Aller levais vos main en l’air pendant qu’on vous menotte.

Une demi-heure plus tard …

- Merci les gars.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeSam 8 Sep - 15:34

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Mon réveille sonna, il était 12 h. J’ai prit un bon petit déjeuner puis je suis descendu voir comment tournait les affaires. Une fois mon inspection terminé, j’ai prit ma bécane et je suis allé récupérer ma mustang.

Elle était flambant neuve est pour seulement 500.000 dollars c’était une affaire. J’ai payé le gars et je lui ai aussi donné ma vieille moto. Je suis ensuite rentré au casino.

Tôt dans l’après midi le maire de San Fiero est venu nous voir dans notre bureau.

- Voilà, il me faudrait trois millions de dollars pour rénover l’aéroport.

- Et vous pensé qu’on va vous filez notre argent comme sa ?

- Je suis bien sur disposé à vous donner certains avantages.

- On veut 10 % d’intérêt sur le prêt, ainsi qu’un entrepôt privé.

- 10 % !! Mais vous n’y pensé pas ! La ville ne pourra jamais rembourser sa. Je vous propose 5 % d’intérêt.

- Nous n’irons pas en dessous de 7 %

- 6 %

- 7

- 6.5

- 7

- D’accord 7, et vous aurez votre hangar.

- Bien, et pour le payement que proposé vous ?

- Un remboursement par an. A hauteur de 25 % des bénéfices de la ville soit environs 100.000 dollars.

Nous riment à plein poumon. Le maire lui avait un visage inquiet.

- Vous êtes peu être un bon maire mais un piètre négocient. A ce rythme il vous faudra pas moins de 32 ans pour nous remboursé. Montez à 300.000 dollars par an est nous serons d’accord.

- Je ne peux pas, se serai stoppé le développement de la ville. Les citoyens n’aimeraient pas et je ne serais pas réélu.

- Alors vendais nous des terrains, des entreprises ou des choses dons vous avez le contrôle.

- Je peux vous vendre un terrain sur Angel Pine. Il est très biens situé, juste en face de la mère et …

- Nous ne somme pas des particuliers. Votre terrain on peut se l’acheter tous seul. Vendais-nous le contrôle du Gant Bridge et du Garver Bridge. Vous aurez ainsi remboursé deux tiers de votre emprunt.

- Mais ils me rapportent tellement … il faut absolument rénover l’aéroport. La piste de décollage risque de s’effondrer. Et il faut construire une nouvelle piste car votre casino attire beaucoup de monde. Je ne peux faire cela. Alors tan pis, l’aéroport sera fermer pour cause de sécurité est il sera rénover petit à petit se qui prendra des années …

- Ok, un vous prêt 3.5 millions de dollars avec 4 % d’intérêt. Mais vous nous donner des parts de l’aéroport. A hauteur de 80 %.

- J’apprécie grandement votre geste. Mais je ne vous donnerai pas plus de 40 % de part.

- Vous savez, il me vient une bonne idée. Pourquoi ne contrerions nous pas notre propre aéroport ? Nous ferons des tarifs avantageux pour ceux qu’y voudrons aller au casino. Votre aéroport monsieur le maire perdra jusqu'à 20 % de sa clientèle.


- Vous êtes de dur homme d’affaire.

- Vous nous y obligé.
- 3.5 millions de dollars pour 3.5 % d’intérêt avec 49 % de parts, avec un grand hangar à votre entière disposition.

- Vendu. On se charge de faire les contrats. On se revoit dans deux semaines pour la signature.


- Je suis heureux que nous ayons pus trouver un accord messieurs.

Il partit. Nous avons immédiatement appelé Steven. (l’avocat du chapitre 12) Deux semaines plus tard le maire signé comme un cons un contra qui l’engagé a recevoir 3.5 millions de dollars pour 4.5 % d’intérêt en nous donnant aussi 49 % de part dans l’aéroport plus 5 autres % chaque années.

Se jours la frappa notre entreprise. Nous allions faire notre entré dans la vie de la ville.
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MessageSujet: Re: La naissance d'un truand (RP2)   La naissance d'un truand (RP2) Icon_minitimeDim 9 Sep - 12:56

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Tu m’as arrêté
Je suis un dieu
Je serais vengé
Même si je vais aux cieux

Devant moi L’état
Je ne réalise pas
Que tous est à moi
Je vol ici bas

Partit de la ruelle
J’ai tué pour en arriver la
Je suis sortit du tunnel
Je suis derrière toi

Marche droit
N’échoue pas
Car je suis plus puissant que toi
Insulte-moi

Mon heure n’est pas venu
Même si c’est bientôt terminé
On retrouvera ton corps nu
Ta tête décapitée

Montre ta vidéo
A ton petit jury
Je suis le dieu qui tue votre fléau
Je vais faire éclater ma furie

Tous souffriront
Jury, jurés, témoins
Puis mourons
Je ne serais pas loin

Plus un souffle
Seul le sang
Tous souffrent
Au fille des ans

Il était blanc comme un linge, une goute de sueur coulais le long de son front. Il écrasé ses doigts autour de la crosse de son arme, comme si j’allais me libérer de mes menotte et lui sauté à la gorge. Je viens de lui raconter mon histoire, il se rend compte qu’il n’a aucunes chances. Il reprit peu à peu des couleurs, se leva puis partis sans un mot.

Le jour du procès, personne ne le crus. Pas même après avoir vu le vidéo me montrant entrain de raconté mon histoire. Cette vidéo, mes aveux, mes menaces aussi. Personne n’osa condamner l’un des chefs de la mafia qui contrôle tous San Andréas. Le jury s’excusa de cette bavure et me libéra.

Le lendemain les policiers retrouvèrent un corps au fond d’un canal, la tête décapité.



FIN
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